Et si Mahmoud Abbas a dû prendre sa décision, c’est qu’il doit avoir déchanté face à Nétanyahu et consorts, quant aux chances de voir cette paix tant souhaitée prendre forme.
Déçu mais aussi « surpris » comme il vient de le signaler de l’attitude des USA qui, une fois encore, se rangent du côté d’Israël justifiant la poursuite effrénée de la colonisation et faisant d’Al Qods une ville israélienne. C’est du dajà-vu. Avec ou sans un président dont on a cherché à « louer » la couleur ou les origines afro-musulmanes, le résultat est toujours le même.
Même avec un gars du Hamas à la tête des Etats Unis( !), les choses ne sauront changer.
Au fait, que devrait-on garder, hormis la liesse des représentants des pays arabes de voir l’Assemblée générale de ce machin qu’est l’ONU, approuver le Rapport Goldstone condamnant l’Etat hébreu pour des crimes commis lors de l’agression contre Gaza ? La suite est attendue au Conseil de sécurité où l’on aura tout loisir d’apprécier un énième veto servi par l’Oncle Sam.