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A Guelmim, un bijoutier voit sa maison attaquée. En plein jour, une bande armée démonte son coffre-fort et l’embarque à bord d’un véhicule conduit par une femme. A Laâyoune, on ne compte plus les maisons envahies et combriolées.
Mais les bandes de malfaiteurs diversifient leur mode opératoire. Cette fois, c’est à bord de plusieurs véhicules tout terrain qu’ils ont intercepté un car qui effectuait la liaison Guelmim-Laâyoune. Coincé par les véhicules des brigands, le conducteur du car était obligé de s’arrêter permettant aux assaillants cagoulés de monter à bord et de sommer les passagers de leur remettre tout ce qu’ils possédaient sous la menace de machettes. Les assaillants qui étaient au nombre de six, s’étaient répartis les tâches. Pendant que les uns menaçaient de leurs machettes, l’un de leurs complices se chargeait de collecter ce que les pauvres passagers déposaient, malgré eux, au sol, alors que celui qui semblait être le chef indiquait aux passagers selon leur apparence, le montant de la rançon qu’ils devaient remettre sous les injures et les menaces.
Si cette agression s’est déroulée sans effusion de sang, il n’est pas évident que les agressions à venir ne soient pas sanglantes, si jamais l’un des passagers s’aventurait à tenir tête aux membres de la bande.