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Cet écosystème est un mix entre les apporteurs de capitaux, les sièges sociaux et les services professionnels, a expliqué M. Ibrahimi dans un entretien publié hier lundi par le site français dédié à l’actualité économique dans le Royaume “Usine Maroc”, notant que “des briques sont là et il faut les densifier”.
“Un fonds d’investissement a besoin d’une banque d’affaires qui elle-même a besoin d’un service professionnel juridique et ainsi de suite. Un siège de multinationale saisit des opportunités de développement d’acquisitions par exemple et nécessite une banque d’affaires et aussi de consultants”, a-t-il dit, ajoutant que “les plus grands sont presque tous là et ceux qui n’y étaient pas commencent à nous approcher”.
Il a par ailleurs indiqué que 101 entreprises adhérentes ont été labellisées CFC à fin 2015, relevant que ce résultat est conforme au plan de développement de la place.
“La bonne réponse que nous rencontrons au niveau du marché nous ravit. D’autant plus que nous avons désormais parmi nous les premiers grands groupes asiatiques comme le chinois Huawei”, s’est-il réjoui.
M. Ibrahimi a aussi rappelé que Casablanca a été choisi mi-2014 par la BAD pour accueillir son important fonds en infrastructure Africa50, soulignant qu’il s’agit d’une grande marque de confiance d’autant plus que la compétition avec d’autres places comme Johannesburg a été rude.