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Les robots de nouvelle génération pourraient traiter 25% des tâches automatisables d'ici à 2025, contre seulement 10% actuellement pour les robots traditionnels, selon un rapport du cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG) publié récemment.
Ces robots, "connectés et capables de résoudre des problèmes complexes" pourraient en moyenne, entraîner d'ici dix ans une baisse du coût du travail de 16% pour les industriels, selon les auteurs du rapport.
En 2025, les investissements en robotique devraient ainsi s'établir à 59,2 milliards d'euros, contre un chiffre de 23,8 milliards d'euros attendu cette année.
"Les prix et les performances de l'automatisation s'améliorent rapidement", souligne Olivier Scalabre, directeur associé au BCG Paris. "Dans cinq à dix ans, les robots deviendront une solution incontournable dans la plupart des industries, y compris pour les petites et moyennes entreprises", assure-t-il.
Toutefois, les équipementiers de l'automobile et du transport, les fabricants de composants électriques et électroniques, et les producteurs de biens d'équipement industriel devraient être les premiers bénéficiaires de cette révolution.
"Ces secteurs devraient représenter 75% des installations de robotique avancée d'ici 2025", note ainsi le rapport.
Les progrès de la robotique auront également un impact majeur sur la compétitivité industrielle de chaque pays: les économies les plus en pointe en matière de robotique avancée verront davantage leur compétitivité s'améliorer, selon les auteurs du BCG.
La France devrait par exemple voir ses coûts de main d'oeuvre diminuer de seulement 9%, contre 21% pour l'Allemagne.
Ces robots, "connectés et capables de résoudre des problèmes complexes" pourraient en moyenne, entraîner d'ici dix ans une baisse du coût du travail de 16% pour les industriels, selon les auteurs du rapport.
En 2025, les investissements en robotique devraient ainsi s'établir à 59,2 milliards d'euros, contre un chiffre de 23,8 milliards d'euros attendu cette année.
"Les prix et les performances de l'automatisation s'améliorent rapidement", souligne Olivier Scalabre, directeur associé au BCG Paris. "Dans cinq à dix ans, les robots deviendront une solution incontournable dans la plupart des industries, y compris pour les petites et moyennes entreprises", assure-t-il.
Toutefois, les équipementiers de l'automobile et du transport, les fabricants de composants électriques et électroniques, et les producteurs de biens d'équipement industriel devraient être les premiers bénéficiaires de cette révolution.
"Ces secteurs devraient représenter 75% des installations de robotique avancée d'ici 2025", note ainsi le rapport.
Les progrès de la robotique auront également un impact majeur sur la compétitivité industrielle de chaque pays: les économies les plus en pointe en matière de robotique avancée verront davantage leur compétitivité s'améliorer, selon les auteurs du BCG.
La France devrait par exemple voir ses coûts de main d'oeuvre diminuer de seulement 9%, contre 21% pour l'Allemagne.