-
Participation marocaine au Sommet d'investissement SelectUSA : Un reflet de la vitalité du partenariat économique entre Rabat et Washington
-
Le déficit budgétaire s’accentue à fin avril 2025
-
Lancement à Rabat de la semaine de promotion économique de la République Centrafricaine au Maroc
-
Miklós Tromler : Les entreprises hongroises manifestent un intérêt grandissant pour investir à Dakhla-Oued Eddahab
-
Productivité agricole : L’INRA et Syngenta présentent les résultats des essais menés dans le cadre de leur partenariat 2021-2024

"Notre point de départ est que nous devons aller de l'avant par le programme existant et que ses conditions soient respectées", a déclaré à la presse M. Rinne, qui a participé lundi à Bruxelles à une réunion des ministres des Finances de l'Union européenne (UE).
Selon lui, les pays de la zone euro disposent de 11 jours pour trouver une solution sur la base du plan de soutien financier actuel. "Actuellement, il n'y a aucune information sur un progrès réalisé dans les discussions entre l'UE et le nouveau gouvernement à Athènes", a-t-il dit.
La Grèce a refusé lundi la proposition soumise par l'Eurogroupe, qui prévoyait une prolongation technique de six mois du programme d'aide actuel, conditionné par des réformes dont certaines sont refusées par le nouveau gouvernement grec.
De son côté, la zone euro a donné une semaine à la Grèce pour demander comme elle l'exige une extension de son programme d'aide financière.
Accordé par la troïka (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international et Union européenne), le plan d'aide arrive à échéance à la fin février.
Le nouveau gouvernement grec, formé après la victoire électorale du parti de gauche radicale Syriza, appelle à une renégociation des conditions du plan d'aide au pays.
Auparavant, le Premier ministre finlandais Alexander Stubb avait affirmé que son pays ne pourrait pas accepter une restructuration ou annulation de ses titres grecs, se disant disposé à une extension de la période de remboursement des prêts.
La Finlande, qui a développé une réputation de positions dures et exigeantes sur les plans de sauvetage pour les économies de la zone euro en difficulté, a été le seul Etat de la zone euro à demander et obtenir des garanties collatérales pour participer au renflouement de la Grèce et de l'Espagne.