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Depuis quelques années, la province d’Essaouira connaît un nombre très élevé de suicides. Hommes, femmes, jeunes et moins jeunes se donnent la mort de manière tragique et imprévisible.
Avant-hier à titre d’exemple, un homme de 44 ans et souffrant, d’après les membres de sa famille, de troubles psychiques, s’est suicidé à l’ancienne médina en se jetant du toit de sa maison. Une semaine auparavant, un jeune homme de 20 ans s’est donné la mort par pendaison à Imintlit. Un incident douloureux précédé d’un autre qui a frappé la commune rurale de Takkat à cause du suicide d’une jeune fille de 17 ans.
On se souvient de la petite Naima Zemzem qui s’est donné la mort par pendaison le 02 février 2011 à l’âge de 13 ans dans la commune rurale de Mejji. Un cas difficile à concevoir ou expliquer comme d’autres suicides assez étranges qui ont touché des hommes et des femmes âgés.
Les noms, les âges, les modes opératoires et les circonstances diffèrent à chaque fois, mais le suicide est toujours le même en milieu rural ou urbain. Des citoyens qui mettent fin à leur vie pour des raisons de santé, ou sociales et économiques sans que les services compétents prennent ce phénomène au sérieux pour en connaître les causes.
Avant-hier à titre d’exemple, un homme de 44 ans et souffrant, d’après les membres de sa famille, de troubles psychiques, s’est suicidé à l’ancienne médina en se jetant du toit de sa maison. Une semaine auparavant, un jeune homme de 20 ans s’est donné la mort par pendaison à Imintlit. Un incident douloureux précédé d’un autre qui a frappé la commune rurale de Takkat à cause du suicide d’une jeune fille de 17 ans.
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Les noms, les âges, les modes opératoires et les circonstances diffèrent à chaque fois, mais le suicide est toujours le même en milieu rural ou urbain. Des citoyens qui mettent fin à leur vie pour des raisons de santé, ou sociales et économiques sans que les services compétents prennent ce phénomène au sérieux pour en connaître les causes.