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Sous le Haut patronage de S.M le Roi, le ministère de la Culture organisera, du 25 au 27 août 2017, la 17ème édition du Festival national d’Ahidous en collaboration avec l’Association Taymat des arts de l’Atlas, le conseil de la région de Fès-Meknès et la commune rurale d’Aïn Louh.
Selon un communiqué des organisateurs, cette manifestation vise à préserver et faire connaître ce patrimoine musical qui relie le passé au présent et reflète l’une des différentes facettes de la culture marocaine.
C’est un art où convergent plusieurs valeurs telles la solidarité (chant et danse collective), la poésie, miroir de la société et son vécu politique, économique, social, culturel et environnemental (on évoque beaucoup la forêt et l’eau), et la beauté de la chorégraphie, sous-tend l'une des danses collectives les plus importantes de la société amazighe. C'est aussi un moyen qui permet au groupe d'exprimer l'émotion partagée par les individus et surtout de mettre en valeur une spécificité régionale en reflétant sa culture et la beauté de sa nature.
En tant qu’art enraciné dans la culture amazighe, l’Ahidous est un moyen de communication entre les individus du groupe et une expression de l'esprit collectif et de solidarité entre les tribus amazighes traduisant un ensemble de coutumes et de rituels qui leurs sont propres.
Les mouvements de cette danse étant collectifs, c'est un piétinement, un tremblement qui se propage, entrecoupé d'ondulations qui rappellent le mouvement provoqué par les vents sur les blés. Par l’aisance de ses danseurs et la répétitivité des rythmes qui les accompagnent, l’Ahidous témoigne d'un sens remarquable de la chorégraphie.
Manifestation très courue, le Festival national d’Ahidous n’a cessé depuis sa première édition en 2000, de prendre de l’ampleur en occupant une place prépondérante sur la liste des festivals organisés par le ministère de la Culture.
Sa prochaine édition sera marquée par les représentations des 45 troupes sélectionnées parmi la centaine, venues de toutes les régions du Royaume qui ont pris part aux éliminatoires nationales, organisées les 20 et 21 mai dernier au Complexe culturel Mohamed El Manouni de Meknès.
D’autres activités seront également programmées, dont deux rencontres culturelles dédiées à cet art qui s’inspire d’un besoin d’expression et de communication et offre des moments privilégiés de joie et de partage.
Selon un communiqué des organisateurs, cette manifestation vise à préserver et faire connaître ce patrimoine musical qui relie le passé au présent et reflète l’une des différentes facettes de la culture marocaine.
C’est un art où convergent plusieurs valeurs telles la solidarité (chant et danse collective), la poésie, miroir de la société et son vécu politique, économique, social, culturel et environnemental (on évoque beaucoup la forêt et l’eau), et la beauté de la chorégraphie, sous-tend l'une des danses collectives les plus importantes de la société amazighe. C'est aussi un moyen qui permet au groupe d'exprimer l'émotion partagée par les individus et surtout de mettre en valeur une spécificité régionale en reflétant sa culture et la beauté de sa nature.
En tant qu’art enraciné dans la culture amazighe, l’Ahidous est un moyen de communication entre les individus du groupe et une expression de l'esprit collectif et de solidarité entre les tribus amazighes traduisant un ensemble de coutumes et de rituels qui leurs sont propres.
Les mouvements de cette danse étant collectifs, c'est un piétinement, un tremblement qui se propage, entrecoupé d'ondulations qui rappellent le mouvement provoqué par les vents sur les blés. Par l’aisance de ses danseurs et la répétitivité des rythmes qui les accompagnent, l’Ahidous témoigne d'un sens remarquable de la chorégraphie.
Manifestation très courue, le Festival national d’Ahidous n’a cessé depuis sa première édition en 2000, de prendre de l’ampleur en occupant une place prépondérante sur la liste des festivals organisés par le ministère de la Culture.
Sa prochaine édition sera marquée par les représentations des 45 troupes sélectionnées parmi la centaine, venues de toutes les régions du Royaume qui ont pris part aux éliminatoires nationales, organisées les 20 et 21 mai dernier au Complexe culturel Mohamed El Manouni de Meknès.
D’autres activités seront également programmées, dont deux rencontres culturelles dédiées à cet art qui s’inspire d’un besoin d’expression et de communication et offre des moments privilégiés de joie et de partage.