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Dans un article intitulé "Afrique: la nouvelle course aux infrastructures", publié le week-end dernier sur son site électronique, le magazine écrit que "le Royaume a bâti durant les deux dernières décennies l’un des écosystèmes infrastructurels les plus complets d’Afrique, selon les données disponibles".
La revue précise que le système d’infrastructures du Maroc comprend notamment des lignes à grande vitesse, des ports de rang mondial comme Tanger-Med, des réseaux routiers modernisés, des zones industrielles intégrées, ainsi qu'une politique énergétique basée sur les renouvelables.
Le Royaume mise aussi sur la digitalisation des services publics, consolidant un modèle cohérent et lisible qui stimule l’attractivité économique, relève l'auteur de l'article, ajoutant que l'organisation par le Maroc de la 35e édition de la Coupe d’Afrique des nations, ainsi que les préparatifs de la Coupe du monde 2030, constituent des moments forts pour constater de près les progrès réalisés par le Royaume, rapporte la MAP.
Le magazine tunisien a choisi de commencer son analyse de l’évolution des infrastructures en Afrique par l’exemple du Maroc, considérant que le Royaume figure parmi les pays africains les plus avancés dans ce domaine, s'érigeant en l’une des locomotives du continent en matière d’infrastructures.
Et de souligner que dans un continent en pleine mutation, la modernisation des infrastructures est devenue l’un des principaux leviers de compétitivité et d’attractivité.
Néanmoins, les avancées restent très contrastées: "Certains pays affichent une stratégie globale et intégrée, d’autres accélèrent rapidement, tandis qu’un troisième groupe progresse par étapes", écrit-on.
Après avoir passé en revue les réalisations de plusieurs autres pays africains en matière d’infrastructures, le magazine conclut que les pays qui combinent modernisation physique (ports, routes, énergie, urbanisme) et modernisation numérique sont ceux qui se positionnent le mieux pour attirer les investissements et soutenir leur croissance.










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