Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
Le monde a enregistré 20 millions de "réfugiés climatiques" en 2008 et leur nombre, selon les estimations les plus hautes, pourrait atteindre le milliard d'ici quarante ans, conclut une étude de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Ce rapport, publié au deuxième jour de la conférence de Copenhague sur le climat, souligne que seule une petite partie de ces "réfugiés climatiques" quittent leur pays d'origine. Les autres, la grande majorité, rejoignent des villes déjà surpeuplées, ce qui a pour effet d'accentuer les dégradations environnementales.
S'avançant sur le terrain des estimations, l'OIM recense plusieurs projections sur les déplacements de population liés aux conséquences du réchauffement climatique.
"Les estimations varient entre 25 millions et un milliard sur les quarante prochaines années", note l'étude qui souligne que l'estimation la plus basse est aujourd'hui datée.
L'OIM relève aussi que le nombre de catastrophes naturelles a plus que doublé en vingt ans.
Elle identifie également les régions potentiellement les plus concernées par ces phénomènes migratoires liés au climat, parmi lesquelles l'Afghanistan, le Bangladesh, la majeure partie de l'Amérique centrale, des portions de l'Afrique de l'Ouest et de l'Asie du Sud-Est.
Ce rapport, publié au deuxième jour de la conférence de Copenhague sur le climat, souligne que seule une petite partie de ces "réfugiés climatiques" quittent leur pays d'origine. Les autres, la grande majorité, rejoignent des villes déjà surpeuplées, ce qui a pour effet d'accentuer les dégradations environnementales.
S'avançant sur le terrain des estimations, l'OIM recense plusieurs projections sur les déplacements de population liés aux conséquences du réchauffement climatique.
"Les estimations varient entre 25 millions et un milliard sur les quarante prochaines années", note l'étude qui souligne que l'estimation la plus basse est aujourd'hui datée.
L'OIM relève aussi que le nombre de catastrophes naturelles a plus que doublé en vingt ans.
Elle identifie également les régions potentiellement les plus concernées par ces phénomènes migratoires liés au climat, parmi lesquelles l'Afghanistan, le Bangladesh, la majeure partie de l'Amérique centrale, des portions de l'Afrique de l'Ouest et de l'Asie du Sud-Est.