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Initiée par l’Association “Energie, solidarité et environnement”, l’Association “Bissat environnemental vert” et le Groupe “Energies renouvelables, environnement et solidarité” (GERES), cette rencontre a été l’occasion d’examiner les meilleurs moyens de modernisation du secteur, répondre aux problématiques environnementales et réduire sa consommation en eau en utilisant les énergies propres et protéger ainsi la nappe phréatique qui souffre de sécheresse à cause de plusieurs facteurs naturels et humains.
Avec le soutien de l’Union européenne et le Fonds mondial pour l’environnement, cette rencontre s’est penchée aussi sur la sensibilisation des propriétaires, exploitants et utilisateurs à l’importance d’une utilisation optimale des ressources naturelles pour une gestion durable en respectant les règles de santé et de sécurité.
Il s’agit également de définir les problématiques qui entravent la gouvernance environnementale dans le secteur des hammams à travers une étude préparée par les trois associations et l’Union européenne, indique le président de l’Association Bissat environnemental verte, Alaissat Mustafa, ajoutant que les conclusions issues de cette étude montrent un réel vide juridique pour réglementer le secteur.
Le Maroc compte quelque 12.000 hammams qui consomment entre 1,5 et 2 tonnes de bois quotidiennement, souligne Alaissat Mustafa, considérant qu’il est temps de réglementer ce secteur pour des bains maures propres, respectueux de l’environnement et exploitant l’énergie solaire en mettant au point des chaudières améliorées permettant de réduire la consommation de bois de 80%.