Une autre victime de viol se suicide

Passé le temps des "immolés" pour protester contre les injustices socio-économiques, voici arrivé celui des "suicidées" pour cause de viol. Les victimes des premiers procédés furent de tou âges, plutôt mûrs qu'autre, femmes et hommes sans distinction, celles des suicidées concernent, à n'en douter, la junte féminine, au printemps de l'âge, mineures dit-on, à 16-18 ans.
Après Fatima Filali, voici Asmaa Kestit, deux jeunes filles, naïves, probablement belles, que le destin a fait en sorte qu'elles rencontrent deux monstres, des garçons égoïstes, comme beaucoup de garçons qui ne pensent qu'à assouvir leur désir bestial en promettant monts et merveilles à leurs futures victimes, enfin, en leur miroitant le mariage (bref dialogue):

-Matkhafich, ran tzaoujou, ouallah, tiki fia,ouah assahabti !
-Khaft taqdi hajtak ou tansani, a'fak khouya,

Mais non, ma chère, crois-tu réellement que le monstre que tu as devant toi pense au mariage? Que nini.
La société marocaine est malade, son corps est infecté: misères, injustices, inégalités, clientilisme, mahsoubia, corruption, pass droits, une loi qui donne le droit aux garçons de violer n'importe quelle jeune et belle fille et surtout naïve fille et de l'épouser par la suite, etc.
Croyez-vous, que les fils de "bonnes familles" s'amendent en épousant leurs victimes, qui doivent être nombreuses?, je ne le crois guère.
Que DIEU nous protège, amen.

on en a assez!!! il faudra maintenant se lever pour freiner cette catastrophe
au Maroc.