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L'alchimie entre les valeurs de tolérance, de dialogue des cultures et des religions et la ville historique de Fès distingue et donne une "touche très spécifique" au Festival de Fès des musiques sacrées du monde, a affirmé, samedi, le président de la Fondation "Esprit de Fès", M. A.Zouitene.
Dans une déclaration à la presse, dans le cadre de la 27ème édition du Festival des musiques sacrées du monde, dont la cérémonie d’ouverture a été présidée vendredi soir par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, M. Zouitene a rappelé que dès le départ, la Fondation "Esprit de Fès" s’est fixé comme but, en organisant ce festival, de promouvoir le dialogue des cultures, des religions, l’ouverture sur l’Autre et l’esprit de tolérance, conformément aux Hautes Orientations de SM le Roi Mohammed VI.
Fès, avec ses 12 siècles d’histoire, où l’on retrouve l’une des plus grandes médinas et la plus ancienne université au monde, forme "une alchimie particulière" qui donne une "dimension et une touche très spécifique à ce festival", a souligné le président de la Fondation "Esprit de Fès", notant que de l’avis de beaucoup, cette manifestation artistique s’est érigée comme "le plus grand festival des musiques sacrées du monde".
Evoquant la thématique retenue pour cette édition, à savoir "La quête de l’esprit Al-Andalus”, M. Zouitene a expliqué que le choix de ce thème entend célébrer "la relation profonde et historique" entre l’Espagne et le Maroc, notant que l’Espagne est également le pays à l’honneur de cette édition.
"La période d’Al-Andalus est une sorte d’âge d’or marquée par une coexistence pacifique des trois religions monothéistes où se sont côtoyés de grands philosophes, savants et musiciens", a-t-il relevé, soulignant que le Maroc a su perpétuer cette tradition, notamment à travers la musique andalouse qui fait partie de l’héritage culturel marocain.
Par ailleurs, M. Zouitene s’est félicité de la "très grande activité" touristique et des retombées économiques du Festival des musiques sacrées du monde sur la ville de Fès, estimant qu’il promeut, entre autres, l’artisanat et le tourisme, tout en contribuant au rayonnement et à l’attractivité de la cité idrisside et de la région.
Cette 27ème édition, qui se poursuit jusqu'au 1er juin, met en exergue la période de cohabitation pacifique des religions du Livre dans l’Andalousie du 8ème au 15ème siècles, considérée comme un "âge d’or" dont l’esprit perdure au Maroc. La création exceptionnelle de la soirée d'ouverture "Zyriab ou la cinquième corde" a levé le voile sur une programmation qui promet une immersion et un voyage inédit dans cette époque.
Dans une déclaration à la presse, dans le cadre de la 27ème édition du Festival des musiques sacrées du monde, dont la cérémonie d’ouverture a été présidée vendredi soir par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, M. Zouitene a rappelé que dès le départ, la Fondation "Esprit de Fès" s’est fixé comme but, en organisant ce festival, de promouvoir le dialogue des cultures, des religions, l’ouverture sur l’Autre et l’esprit de tolérance, conformément aux Hautes Orientations de SM le Roi Mohammed VI.
Fès, avec ses 12 siècles d’histoire, où l’on retrouve l’une des plus grandes médinas et la plus ancienne université au monde, forme "une alchimie particulière" qui donne une "dimension et une touche très spécifique à ce festival", a souligné le président de la Fondation "Esprit de Fès", notant que de l’avis de beaucoup, cette manifestation artistique s’est érigée comme "le plus grand festival des musiques sacrées du monde".
Evoquant la thématique retenue pour cette édition, à savoir "La quête de l’esprit Al-Andalus”, M. Zouitene a expliqué que le choix de ce thème entend célébrer "la relation profonde et historique" entre l’Espagne et le Maroc, notant que l’Espagne est également le pays à l’honneur de cette édition.
"La période d’Al-Andalus est une sorte d’âge d’or marquée par une coexistence pacifique des trois religions monothéistes où se sont côtoyés de grands philosophes, savants et musiciens", a-t-il relevé, soulignant que le Maroc a su perpétuer cette tradition, notamment à travers la musique andalouse qui fait partie de l’héritage culturel marocain.
Par ailleurs, M. Zouitene s’est félicité de la "très grande activité" touristique et des retombées économiques du Festival des musiques sacrées du monde sur la ville de Fès, estimant qu’il promeut, entre autres, l’artisanat et le tourisme, tout en contribuant au rayonnement et à l’attractivité de la cité idrisside et de la région.
Cette 27ème édition, qui se poursuit jusqu'au 1er juin, met en exergue la période de cohabitation pacifique des religions du Livre dans l’Andalousie du 8ème au 15ème siècles, considérée comme un "âge d’or" dont l’esprit perdure au Maroc. La création exceptionnelle de la soirée d'ouverture "Zyriab ou la cinquième corde" a levé le voile sur une programmation qui promet une immersion et un voyage inédit dans cette époque.
Bouillon de culture
Cinéma
Le cinéma marocain sera à l’honneur du 28 au 30 mai à Amman, avec la projection de trois oeuvres du réalisateur Abdelilah El-Jaouhary, dans le cadre du programme “Nuits du film marocain”, à l'initiative de la Fondation culturelle Abdul Hameed Shoman.
Le choix du cinéma marocain est motivé par la volonté de promouvoir la culture marocaine riche et diversifiée et ses spécificités auprès du public jordanien, et de contribuer au rapprochement et au raffermissement davantage des liens d’amitié et de fraternité entre les deux peuples et les deux pays, apprend-on auprès des organisateurs.
“Nous avons décidé de braquer les projecteurs sur le film marocain en vue de rapprocher davantage la culture cinématographique marocaine des cinéphiles jordaniens”, a indiqué à la MAP la responsable de la Commission du cinéma au sein de la Fondation Abdul Hameed Shoman, Huda Qamhiyeh.
Elle a tenu à mettre en avant le développement du 7ème art marocain ainsi que la qualité et le professionnalisme des oeuvres cinématographiques marocaines, notant que la Fondation a déjà accueilli plusieurs professionnels marocains, dont des critiques de cinéma.
Ainsi, trois films du réalisateur Abdelilah El-Jaouhary seront projetés. Il s’agit du long-métrage de fiction “L’Esclave” (28 mai), du long-métrage documentaire "Raja Bent Al-Mellah" (29 mai) et du long-métrage “Hala Madrid… Visca Barça” (30 mai).
Une rencontre d’interaction entre le public et le réalisateur est prévue à l’issue de chaque projection, a indiqué Mme Qamhiyeh.
La Fondation Abdul Hameed Shoman s'intéresse à la créativité culturelle et sociale comme moyen de contribution au progrès des sociétés dans le monde arabe dans les domaines variés de la littérature, des arts et de l'innovation.
Le cinéma marocain sera à l’honneur du 28 au 30 mai à Amman, avec la projection de trois oeuvres du réalisateur Abdelilah El-Jaouhary, dans le cadre du programme “Nuits du film marocain”, à l'initiative de la Fondation culturelle Abdul Hameed Shoman.
Le choix du cinéma marocain est motivé par la volonté de promouvoir la culture marocaine riche et diversifiée et ses spécificités auprès du public jordanien, et de contribuer au rapprochement et au raffermissement davantage des liens d’amitié et de fraternité entre les deux peuples et les deux pays, apprend-on auprès des organisateurs.
“Nous avons décidé de braquer les projecteurs sur le film marocain en vue de rapprocher davantage la culture cinématographique marocaine des cinéphiles jordaniens”, a indiqué à la MAP la responsable de la Commission du cinéma au sein de la Fondation Abdul Hameed Shoman, Huda Qamhiyeh.
Elle a tenu à mettre en avant le développement du 7ème art marocain ainsi que la qualité et le professionnalisme des oeuvres cinématographiques marocaines, notant que la Fondation a déjà accueilli plusieurs professionnels marocains, dont des critiques de cinéma.
Ainsi, trois films du réalisateur Abdelilah El-Jaouhary seront projetés. Il s’agit du long-métrage de fiction “L’Esclave” (28 mai), du long-métrage documentaire "Raja Bent Al-Mellah" (29 mai) et du long-métrage “Hala Madrid… Visca Barça” (30 mai).
Une rencontre d’interaction entre le public et le réalisateur est prévue à l’issue de chaque projection, a indiqué Mme Qamhiyeh.
La Fondation Abdul Hameed Shoman s'intéresse à la créativité culturelle et sociale comme moyen de contribution au progrès des sociétés dans le monde arabe dans les domaines variés de la littérature, des arts et de l'innovation.