-
La CGEM et la CGECI explorent à Abidjan les moyens de renforcer leur partenariat stratégique
-
Ghassane El Machrafi : Le projet de Zenata conçu pour répondre aux besoins de Casablanca les plus pressants
-
Développement industriel : Le Maroc plaide à Vienne pour une coopération Sud-Sud et triangulaire
-
Finalisation du tracé du Gazoduc Nigeria-Maroc
-
Participation marocaine au Sommet d'investissement SelectUSA : Un reflet de la vitalité du partenariat économique entre Rabat et Washington
Signé sous la présidence du ministre de l’Agriculture et de la Pêche Maritime, Aziz Akhannouch, en marge de la 11ème édition du Salon international de l'agriculture au Maroc (SIAM 2016), ce mémorandum d’entente vise à déterminer le cadre général des discussions futures à intervenir entre les parties signataires pour la mise en place d’une démarche de restructuration viable des coopératives agricoles marocaines et leur Union, acteurs historiques de l’activité négoce de céréales au Maroc, mais traversant depuis plusieurs années des difficultés structurelles, organisationnelles et financières.
Selon des données du ministère, la filière céréalière, concentrée essentiellement sur les cultures du blé tendre, de l’orge et du blé dur, participe dans une large mesure au développement agricole national avec une contribution de 10 % à 20% au PIB agricole et 80 % de la superficie agricole utile, soit 5,3 millions d’hectares.
Le Consortium Bancaire est constitué par la BCP et le CAM qui sont des institutions bancaires et financières de référence, contribuant depuis plusieurs années au développement économique et social du Maroc en général, et à celui du monde rural et agricole en particulier.
La majorité des coopératives sont des acteurs historiques de l’activité négoce de céréales au Maroc. Elles traversent depuis plusieurs années des difficultés structurelles, organisationnelles et financières qui remettent en cause la pérennité de leur activité en sus de compromettre leur capacité à honorer leurs dettes contractées auprès du Consortium Bancaire.Compte tenu de l’importance socio-économique de la filière céréalière au Maroc, la large base d’adhérents des coopératives, et l’ampleur de leurs capacités de stockage, l’appui du consortium bancaire a été sollicité afin d’opérer une démarche de restructuration viable des Coopératives.