Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager

Un journal belge met en exergue l'attractivité du Maroc sur le marché de l’immobilier

Lundi 5 Mai 2025

Le quotidien belge "La Libre Belgique" a mis en exergue, samedi, l'attractivité du Maroc sur le marché de l’immobilier, notamment celui des résidences secondaires pour les clients internationaux.

Le modèle économique et le cadre fiscal et administratif favorable à l’investissement immobilier dans le Royaume ont été, à cet effet, soulignés par le journal, qui a donné la parole à un parterre d’experts, autour d’une table-ronde sur "Résidences secondaires, capital bonheur et patrimoine rentable".

“Aujourd’hui, le Maroc, grâce à la Clairvoyance de SM le Roi Mohammed VI, s’inscrit dans un modèle économique d’esprit d’ouverture selon une politique et une fiscalité stables, notamment pour les développements immobiliers de secondes résidences”, a relevé Philippe Gillion, propriétaire de Sotheby’s International Realty Belgium & Morocco.

Ce constat contraste avec la situation en Belgique, où la fiscalité immobilière n’est “intéressante que pour le logement privé principal”, a-t-il fait observer.

Selon M. Gillion, qui a plusieurs investissements immobiliers au Maroc, le Royaume se distingue, entre autres, par '’des investissements à la hauteur des enjeux internationaux, notamment ceux pour la Coupe du Monde 2030, la Ligne à grande vitesse et les infrastructures aéroportuaires, ainsi qu’une organisation politico-administrative ‘claire, efficace et cohérente’, notamment en termes d’entrée/sortie de capitaux’’, rapporte la MAP.

Et d’ajouter que cette organisation permet d’obtenir des informations sur l’investissement immobilier et les permis – valables 3 ans – sous des délais d’environ 4 mois, contre des délais de 50 et 78 mois à partir du dossier déclaré complet en Belgique. “En conséquence, le Maroc se constitue aujourd’hui une classe moyenne alors que nous connaissons un laminage de la nôtre”, a-t-il commenté.

En termes d’investissement immobilier, Frédérique Pauporté, PDG de Barnes Brussels, fait remarquer que le Maroc attire des profils diversifiés, par exemple une clientèle jeune et sportive à Essaouira et une clientèle davantage fortunée à Marrakech.

“Un budget de 250 mille euros permet de prétendre à une villa à Essaouira contre un appartement en Espagne ou au Portugal et un studio en France. A Marrakech, où nous avons développé des maisons vendues à plus de 540 mille euros, nous enregistrons régulièrement des demandes pour des résidences plus importantes aux valeurs comprises entre 1 et 1,5 million d’euros et au-delà”, confirme M. Gillion.

Libé

Lu 342 fois


Nouveau commentaire :

Votre avis nous intéresse. Cependant, Libé refusera de diffuser toute forme de message haineux, diffamatoire, calomnieux ou attentatoire à l'honneur et à la vie privée.
Seront immédiatement exclus de notre site, tous propos racistes ou xénophobes, menaces, injures ou autres incitations à la violence.
En toutes circonstances, nous vous recommandons respect et courtoisie. Merci.

Dossiers du weekend | Actualité | Spécial élections | Les cancres de la campagne | Libé + Eté | Spécial Eté | Rétrospective 2010 | Monde | Société | Régions | Horizons | Economie | Culture | Sport | Ecume du jour | Entretien | Archives | Vidéo | Expresso | En toute Libé | USFP | People | Editorial | Post Scriptum | Billet | Rebonds | Vu d'ici | Scalpel | Chronique littéraire | Chronique | Portrait | Au jour le jour | Edito | Sur le vif | RETROSPECTIVE 2020 | RETROSPECTIVE ECO 2020 | RETROSPECTIVE USFP 2020 | RETROSPECTIVE SPORT 2020 | RETROSPECTIVE CULTURE 2020 | RETROSPECTIVE SOCIETE 2020 | RETROSPECTIVE MONDE 2020 | Videos USFP | Economie_Zoom | Economie_Automobile | TVLibe