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Le bilan de la Fédération royale marocaine de taekwondo (FRMT) depuis 2001 est "positif malgré les contraintes", a estimé le président de la Fédération, Driss El Hilali, dont le deuxième mandat de suite dans ce poste arrive à échéance fin janvier courant.
"Dans un climat marqué de contraintes, de difficultés et de décalage entre réalité et ambitions, nous avons pu réaliser des performances considérables", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse tenue mardi à Rabat pour la présentation du bilan général de la Fédération depuis 2001 ainsi que les perspectives d'avenir.
M. El Hilali a indiqué que durant ses deux mandats, la FRMT a connu plusieurs développements tant au niveau des résultats obtenus par les sportifs marocains aux différentes compétitions que de la représentativité du Royaume au sein de diverses instances mondiales.
Il a expliqué avoir, en l'espace de huit ans, contribué à la création des Unions méditerranéenne et du Maghreb de taekwondo ainsi que la fédération du Sahel, en plus de la signature de plusieurs conventions de partenariat avec plusieurs fédérations et instances mondiales ayant pour objectif la promotion et la vulgarisation de cette discipline au Maroc, à même de lui assurer une honorable position qui lui échoit.
Durant cette période, M. El Hilali a également été élu membre du comité exécutif de la fédération internationale de taekwondo, président de l'Union méditerranéenne et membre de la confédération africaine et des fédérations arabe, francophone, maghrébine et sahélienne.
Evaluant la participation marocaine aux compétitions internationales, il a souligné que le bilan était "très positif", sans pour autant atteindre l'objectif majeur de se hisser au podium des Jeux olympiques.
Dans ce cadre, M. El Hilali a noté que les résultats obtenus par les sélections nationales de 2001 à 2009 étaient en courbe ascendante, expliquant que la moisson en termes de médailles est passée de 9 en 2001 à 83 en 2005, puis à 65 en 2009, soit un total de 466 médailles durant cette période, en plus de 75 coupes gagnées en huit ans.
Le nombre de clubs et associations affiliés à la Fédération a atteint 450 en 2009 et celui des licenciés a passé à 30.000, pour 30 entraîneurs internationaux et 250 juges-arbitres, dont 48 internationaux, a-t-il précisé.
Evoquant les perspectives à l'horizon 2016, il a souligné que l'objectif majeur demeure la consécration olympique en 2012 à Londres et une médaille d'or au moL’Angola remplit son contrat et rêve de bonusins à l'édition 2016 à Rio de Janeiro, en plus d'assurer au Maroc une 5è place au classement mondial et la première position aux niveaux arabe et africain. La Fédération aspire également à atteindre le nombre de 60.000 licenciés, 600 entraîneurs nationaux, 100 entraîneurs internationaux, 300 juges-arbitres nationaux, 80 juges-arbitres internationaux et 600 associations structurées, a-t-il conclu.
"Dans un climat marqué de contraintes, de difficultés et de décalage entre réalité et ambitions, nous avons pu réaliser des performances considérables", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse tenue mardi à Rabat pour la présentation du bilan général de la Fédération depuis 2001 ainsi que les perspectives d'avenir.
M. El Hilali a indiqué que durant ses deux mandats, la FRMT a connu plusieurs développements tant au niveau des résultats obtenus par les sportifs marocains aux différentes compétitions que de la représentativité du Royaume au sein de diverses instances mondiales.
Il a expliqué avoir, en l'espace de huit ans, contribué à la création des Unions méditerranéenne et du Maghreb de taekwondo ainsi que la fédération du Sahel, en plus de la signature de plusieurs conventions de partenariat avec plusieurs fédérations et instances mondiales ayant pour objectif la promotion et la vulgarisation de cette discipline au Maroc, à même de lui assurer une honorable position qui lui échoit.
Durant cette période, M. El Hilali a également été élu membre du comité exécutif de la fédération internationale de taekwondo, président de l'Union méditerranéenne et membre de la confédération africaine et des fédérations arabe, francophone, maghrébine et sahélienne.
Evaluant la participation marocaine aux compétitions internationales, il a souligné que le bilan était "très positif", sans pour autant atteindre l'objectif majeur de se hisser au podium des Jeux olympiques.
Dans ce cadre, M. El Hilali a noté que les résultats obtenus par les sélections nationales de 2001 à 2009 étaient en courbe ascendante, expliquant que la moisson en termes de médailles est passée de 9 en 2001 à 83 en 2005, puis à 65 en 2009, soit un total de 466 médailles durant cette période, en plus de 75 coupes gagnées en huit ans.
Le nombre de clubs et associations affiliés à la Fédération a atteint 450 en 2009 et celui des licenciés a passé à 30.000, pour 30 entraîneurs internationaux et 250 juges-arbitres, dont 48 internationaux, a-t-il précisé.
Evoquant les perspectives à l'horizon 2016, il a souligné que l'objectif majeur demeure la consécration olympique en 2012 à Londres et une médaille d'or au moL’Angola remplit son contrat et rêve de bonusins à l'édition 2016 à Rio de Janeiro, en plus d'assurer au Maroc une 5è place au classement mondial et la première position aux niveaux arabe et africain. La Fédération aspire également à atteindre le nombre de 60.000 licenciés, 600 entraîneurs nationaux, 100 entraîneurs internationaux, 300 juges-arbitres nationaux, 80 juges-arbitres internationaux et 600 associations structurées, a-t-il conclu.
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