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Entre ambition artistique et controverses culturelles
Quarante ans se sont écoulés depuis la parution du célèbre recueil du Docteur Abbas Al Jirari intitulé : «AL Qassida» (le poème du Malhoune).
Chacun peut facilement attester que ce livre est devenu, une référence incontournable pour tout étudiant ou chercheur que ce soit au sein des universités ou ailleurs.
Il faut aussi avouer que le grand chercheur feu Mohamed El Fassi a apporté à son tour, le dernier élément de la mosaïque avec son livre «Maâlamate Al Malhoune». Fidèle à sa tradition, la direction du Théâtre national Mohamed V a fait le serment de toujours servir le patrimoine en vue de préserver la mémoire culturelle et artistique de notre pays.
Alors quoi de mieux que l’art du Malhoune pour honorer cette mémoire ? Le Théâtre Mohamed V a fait appel à un vétéran en la matière qui n’est autre que l’artiste chercheur Abdelmjid Fenniche pour réaliser et mettre en scène un spectacle intitulé: «Le Malhoune de la reconnaissance» Ce spectacle, qui sera présenté le lundi 15 février au Théâtre national Mohammed V, à 20 h, est une sorte de mosaïque où tous les éléments seront réunis pour composer un ensemble indissociable à savoir les techniques audio-visuelles qui auront comme support le chant individuel et collectif, la présentation musicale et l’interprétation théâtrale, sans oublier la technique cinématographique.
Des chanteurs, (des cheikhs), des musiciens, des comédiens, viendront des quatre coins du Royaume pour ce grand rendez-vous où la symbiose sera unique.
Ce spectacle fera une rétrospective en présentant des «Qssida» classiques pour mieux avancer, car les nouveautés en la matière seront présentes et véhiculées par les troupes telles que «Jil El ghiwane Salwane» et «Nass Al ghiwane». Il arrive à point nommé, après une série de réalisations similaires, et des festivals qui font du «Malhoune» un art exceptionnel.
Nul n’ignore que Docteur Abbas Jirari dirige au sein de l’Académie du Royaume du Maroc un atelier chargé de préparer et de réaliser une encyclopédie qui englobe une vingtaine de «Cheikhs» dès l’époque des Saadiens et notamment Abdelaziz Maghraoui.
Il s’avère de prime abord que l’innovation apportée à l’art du Malhoune a créé un assez grand problème artistique. Voilà pourquoi, on se demande aujourd’hui jusqu’à quel point le Malhoune peut aller de pair avec ce qu’on convient d’appeler actuellement «la chanson des jeunes ou moderne».
Le spectacle «Malhoune de la reconnaissance» vise deux objectifs : le premier est relatif à la mémoire avec tous les dogmes qui interdisent tout changement et le second tente de réfléchir s’il est possible de rester fidèle à cet art tout en tenant compte des changements sociaux et socioculturels.
Chacun peut facilement attester que ce livre est devenu, une référence incontournable pour tout étudiant ou chercheur que ce soit au sein des universités ou ailleurs.
Il faut aussi avouer que le grand chercheur feu Mohamed El Fassi a apporté à son tour, le dernier élément de la mosaïque avec son livre «Maâlamate Al Malhoune». Fidèle à sa tradition, la direction du Théâtre national Mohamed V a fait le serment de toujours servir le patrimoine en vue de préserver la mémoire culturelle et artistique de notre pays.
Alors quoi de mieux que l’art du Malhoune pour honorer cette mémoire ? Le Théâtre Mohamed V a fait appel à un vétéran en la matière qui n’est autre que l’artiste chercheur Abdelmjid Fenniche pour réaliser et mettre en scène un spectacle intitulé: «Le Malhoune de la reconnaissance» Ce spectacle, qui sera présenté le lundi 15 février au Théâtre national Mohammed V, à 20 h, est une sorte de mosaïque où tous les éléments seront réunis pour composer un ensemble indissociable à savoir les techniques audio-visuelles qui auront comme support le chant individuel et collectif, la présentation musicale et l’interprétation théâtrale, sans oublier la technique cinématographique.
Des chanteurs, (des cheikhs), des musiciens, des comédiens, viendront des quatre coins du Royaume pour ce grand rendez-vous où la symbiose sera unique.
Ce spectacle fera une rétrospective en présentant des «Qssida» classiques pour mieux avancer, car les nouveautés en la matière seront présentes et véhiculées par les troupes telles que «Jil El ghiwane Salwane» et «Nass Al ghiwane». Il arrive à point nommé, après une série de réalisations similaires, et des festivals qui font du «Malhoune» un art exceptionnel.
Nul n’ignore que Docteur Abbas Jirari dirige au sein de l’Académie du Royaume du Maroc un atelier chargé de préparer et de réaliser une encyclopédie qui englobe une vingtaine de «Cheikhs» dès l’époque des Saadiens et notamment Abdelaziz Maghraoui.
Il s’avère de prime abord que l’innovation apportée à l’art du Malhoune a créé un assez grand problème artistique. Voilà pourquoi, on se demande aujourd’hui jusqu’à quel point le Malhoune peut aller de pair avec ce qu’on convient d’appeler actuellement «la chanson des jeunes ou moderne».
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