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Et les choses empirent pour ceux qui ont des enfants en âge de scolarité, puisqu’ils devront composer prochainement avec une période importante de dépenses où les articles d’habillement, les chaussures et les fournitures scolaires occupent une place prépondérante, sans oublier bien évidemment les besoins de première nécessité. Malheureusement, les prix de ces produits ne cessent de croître au fil des années alors que les salaires ne bougent quasiment pas d’un iota en comparaison avec le niveau de vie.
Ce qui est avéré est que la majeure partie des revenus dits « primaires » des ménages est constituée de la rémunération des salariés. Laquelle comprend les salaires et les cotisations sociales. Ainsi, tandis que les pouvoirs publics procèdent à des ponctions à la source, une contribution obligatoire des Marocains, le salaire se retrouve dès lors par trop réduit en peau de chagrin. Il se voit également diminuer suite à la contraction d’un crédit immobilier ou au règlement d’un loyer. Ensuite, s’amoncellent les factures à payer rubis sur l’ongle, dont l’eau et l’électricité, le téléphone et l’Internet, l’épicier du coin, etc.
Ce n’est donc pas la joie qui prédomine dans le plus beau pays du monde, mais par contre, il faut impérativement tenter de restituer, un tant soit peu, sa dignité au Marocain.
Et comme dit le proverbe, chat échaudé craint l’eau froide, les Marocains sont sommés de se rendre aux urnes pour « ne pas se laisser prendre sans vert », comme le dit si bien cette expression aussi rétrograde que le PJD. Ils ne devraient nullement les boycotter et tomber comme par le passé dans un guet-apens à la Benkirane!