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En revanche, 5% des plages contrôlées, soit 15 stations, sont classées dans la catégorie D, celles où les eaux sont considérées de mauvaise qualité. La raison est toute simple. Ces plages subissent l’influence des rejets d’eaux usées ou connaissent une forte concentration de baigneurs, conjuguées à l’insuffisance des infrastructures d’hygiène. Les dernières de la classe sont toujours les mêmes. Il s’agit des plages de Rabat et de Salé, de Calabonita dans la province d’El Hoceima, de Martil et de M’diq, dans la wilaya de Tétouan, de Tanger-Malabata et de Tanger-ville dans la wilaya de Tanger-Asilah, la plage de Nahla dans la wilaya du Grand Casablanca, et Sidi Ifni dans la province de Tiznit. Ce sont donc des plages à forte affluence lors de la période estivale qui devraient être carrément interdites à la baignade, mais qui sont toujours ouvertes au public. Le rapport sur la surveillance de la qualité des eaux de baignade ne nous dit pas quelles sont les plages dont les eaux ont été assainies et partant, sont passées de la catégorie D à la catégorie B ou C. Mais ce qui est sûr par contre, comme l’a souligné le ministre chargé de l’Eau et de l’Environnement, c’est que le gouvernement déploie de grands efforts en matière d’assainissement des eaux usées. D’un coût global de 50 milliards de DH à l’horizon 2020 et de 80 milliards de DH en 2030, ce programme porte sur la création de 330 stations d’épuration dont 24 ont déjà été réalisées.









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