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Cette décision au cas où elle se confirmerait, devrait servir de ballon d’essai, avance-t-on, du côté du personnel, en vue de préparer le terrain à d’autres mesures à venir. Il serait également question de la révision du régime de service de nuit qui devrait être assuré dans l’avenir par un groupe de journalistes de 00h00 à 8h00, soit deux heures de plus que la normale. Une double tâche, soulignent les journalistes, dans la mesure où le service de nuit était jusqu’ici assuré par deux journalistes des desks arabe et français et seulement de 00h à 6h00. Les journalistes qui refusent catégoriquement ce changement relèvent aussi que la remise en question des congés de week-end prévus par ce projet est inadmissible et qu’ils seraient prêts à toutes les formes de lutte.
Pour eux, une réforme devrait dépasser ce volet plutôt technique, et partant aller au fond, à savoir la révision des statuts et le changement de la ligne éditoriale. Sans un revirement vers une agence nationale, les réformes seront juste un bricolage, sans impact réel. En second lieu, il ne peut y avoir de réformes réelles, sans un changement de certains postes de responsabilité au niveau rédactionnel et administratif.
Par ailleurs, le représentant des journalistes qui a essayé, autant que faire se peut, de promouvoir ce nouveau projet auprès des journalistes, essuie la colère de ses confrères et consoeurs. Sur leur page Facebook « Et nous… », les agenciers ont exprimé leur mécontentement, en publiant un spécimen de la pétition accusant leur représentant de complicité. Du coup, ils ne lui font plus confiance, l’acculant même à présenter sa démission.