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Une ancienne employée du couple d'acteurs américains Brad Pitt et Angelina Jolie, qui travaillait dans leur domaine viticole de Miraval, dans le sud-est de la France, a saisi la justice pour dénoncer son licenciement "abusif", a indiqué mercredi son avocat.
Cette secrétaire, qui travaillait depuis 2002 dans la propriété du couple située à Correns, en Provence, "a été licenciée en février 2010 au motif qu'elle était en arrêt maladie depuis novembre 2009 et que par conséquent, elle désorganisait l'entreprise", a expliqué à l'AFP son avocat Emmanuel Ludot.
"Elle n'a pas accepté ce licenciement qu'elle considère comme abusif", a ajouté l'avocat, expliquant que sa cliente réclamait 80.000 euros d'indemnités, dont 40.000 de dommages et intérêts, devant le conseil de prud'hommes, la juridiction compétente en France pour les conflits entre salariés et employeurs.
Sa cliente ne s'exprimera publiquement que le jour de l'audience de conciliation, prévue "normalement le 7 juin", devant les prud'hommes de Draguignan.
"C'est parce que nous avons un silence assourdissant en face de nous que nous avons décidé de nous manifester", a souligné l'avocat.
"La particularité, c'est que ce domaine est la propriété de deux monstres du cinéma américain, mais en tant que tel, c'est une procédure d'une grande banalité", a-t-il ajouté.
Le conseil de prud'hommes de Draguignan a indiqué que "le dossier était à l'instruction", sans plus de détails.
Cette secrétaire, qui travaillait depuis 2002 dans la propriété du couple située à Correns, en Provence, "a été licenciée en février 2010 au motif qu'elle était en arrêt maladie depuis novembre 2009 et que par conséquent, elle désorganisait l'entreprise", a expliqué à l'AFP son avocat Emmanuel Ludot.
"Elle n'a pas accepté ce licenciement qu'elle considère comme abusif", a ajouté l'avocat, expliquant que sa cliente réclamait 80.000 euros d'indemnités, dont 40.000 de dommages et intérêts, devant le conseil de prud'hommes, la juridiction compétente en France pour les conflits entre salariés et employeurs.
Sa cliente ne s'exprimera publiquement que le jour de l'audience de conciliation, prévue "normalement le 7 juin", devant les prud'hommes de Draguignan.
"C'est parce que nous avons un silence assourdissant en face de nous que nous avons décidé de nous manifester", a souligné l'avocat.
"La particularité, c'est que ce domaine est la propriété de deux monstres du cinéma américain, mais en tant que tel, c'est une procédure d'une grande banalité", a-t-il ajouté.
Le conseil de prud'hommes de Draguignan a indiqué que "le dossier était à l'instruction", sans plus de détails.