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C'est le rendez-vous du moment. Ce jeudi 15 juillet sera donné le coup d'envoi de la sixième édition du très attendu Festival de Casablanca.
Cette année, l'honneur revient aux rythmes et sonorités jamaïcains d'ouvrir le bal de cette manifestation culturelle des plus prisées. En effet, le Festival accueille en ouverture celui que l'on considère à juste titre comme la plus grande star du dancehall, Sean Paul. La star jamaïcaine donnera un concert événement, demain soir, à 22h, à la corniche casablancaise (scène Corniche El Hank).
La star internationale est connue pour avoir réussi avec brio à mélanger trois styles musicaux très appréciés à travers le monde, le dancehall pur, le R&B et le rap. Nul doute que le crooner enflammera la corniche et fera danser des milliers de fans (attendus à cette soirée) avec sa voix berçante et de son débit saccadé. Et qu'il gratifiera le public de ses meilleurs morceaux tirés des albums à succès, à l'instar de «Dutty Rock» (Grammy award de meilleur album reggae de 2004), «The Trinity» ou encore « Imperial Blaze », sorti en 2009.
Comme c'est désormais la tradition pour tous les concerts, la première partie sera assurée par un groupe marocain, en l'occurrence Wachmn Hit. L'ensemble composé de sept musiciens mêle les sonorités inspirées des musiques de leurs idoles, les Wailers, et des gnaouas. Le groupe revendique un style unique et très varié combinant harmonieusement blues, ska, latino et reggae. «Hit Wachmn'hit» est l'intitulé du premier album de cette joyeuse bande de jeunes à l'inspiration débordante.
Au même moment, la Place Rachidi vibrera aux rythmes et sons du groupe de musique amazigh Riba fusion (première partie). Le groupe créé en 2008 s'inspire des musiques traditionnelles du Souss qu'il mêle aux sons actuels.
En seconde partie, les festivaliers auront rendez-vous avec Lee Fields et son groupe The Expressions. Considéré comme le roi de la soul-funk contemporaine, l'Américain Lee Fields entame sa carrière dans les années 60 aux côtés de nombreux groupes qui poseront les fondations du funk. Avant de produire, 10 ans plus tard, 45 tours de légende. Grâce à ses nombreuses collaborations, l'auteur de «My world» rebondit au top des charts pour le bonheur des fans qu'il n'a cessé de surprendre.
Pendant ce temps, les mythiques groupes Nass El Ghiwane, Lemchaheb et Jil Jilala se donneront la réplique à Sidi Bernoussi.
Sur la scène Ben M'sick, le public applaudira Muslim et Jad Choueiri. Le premier nous gratifiera de ses somptueux morceaux qui traduisent, dans un style parfaitement maîtrisé le malaise et les idéaux de la jeunesse. Interprète et compositeur natif de Tanger, Muslim compte à son actif trois albums en solo : «Strictly For my souljaz» (2005), «Bghini wela krahni» (2006) et « Mour ssour » (2008).
C'est en 2004 que Jad Choueiri se fait connaître auprès du grand public grâce notamment à son single « Aollak Eh ». Auteur, compositeur et interprète, le jeune artiste d'origine libanaise compte aussi deux autres chansons : «Oully Ezzay» et «Mazzika». Et un second album, sorti en 2005, « El Mouftah ». Enfin, comme à chaque ouverture du Festival, un spectacle de rue grandiose intitulé « Place des anges » (et créé par les studios du cirque de Marseille) viendra illuminer le ciel casablancais. «Des créatures célestes mèneront un ballet dans le ciel et provoqueront une pluie de plumes blanches. Interactif et magique à la fois, le spectacle est une ode au rêve et sera joué sur la place Mohammed V, sans barrière aucune », promettent les organisateurs.
Cette année, l'honneur revient aux rythmes et sonorités jamaïcains d'ouvrir le bal de cette manifestation culturelle des plus prisées. En effet, le Festival accueille en ouverture celui que l'on considère à juste titre comme la plus grande star du dancehall, Sean Paul. La star jamaïcaine donnera un concert événement, demain soir, à 22h, à la corniche casablancaise (scène Corniche El Hank).
La star internationale est connue pour avoir réussi avec brio à mélanger trois styles musicaux très appréciés à travers le monde, le dancehall pur, le R&B et le rap. Nul doute que le crooner enflammera la corniche et fera danser des milliers de fans (attendus à cette soirée) avec sa voix berçante et de son débit saccadé. Et qu'il gratifiera le public de ses meilleurs morceaux tirés des albums à succès, à l'instar de «Dutty Rock» (Grammy award de meilleur album reggae de 2004), «The Trinity» ou encore « Imperial Blaze », sorti en 2009.
Comme c'est désormais la tradition pour tous les concerts, la première partie sera assurée par un groupe marocain, en l'occurrence Wachmn Hit. L'ensemble composé de sept musiciens mêle les sonorités inspirées des musiques de leurs idoles, les Wailers, et des gnaouas. Le groupe revendique un style unique et très varié combinant harmonieusement blues, ska, latino et reggae. «Hit Wachmn'hit» est l'intitulé du premier album de cette joyeuse bande de jeunes à l'inspiration débordante.
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C'est en 2004 que Jad Choueiri se fait connaître auprès du grand public grâce notamment à son single « Aollak Eh ». Auteur, compositeur et interprète, le jeune artiste d'origine libanaise compte aussi deux autres chansons : «Oully Ezzay» et «Mazzika». Et un second album, sorti en 2005, « El Mouftah ». Enfin, comme à chaque ouverture du Festival, un spectacle de rue grandiose intitulé « Place des anges » (et créé par les studios du cirque de Marseille) viendra illuminer le ciel casablancais. «Des créatures célestes mèneront un ballet dans le ciel et provoqueront une pluie de plumes blanches. Interactif et magique à la fois, le spectacle est une ode au rêve et sera joué sur la place Mohammed V, sans barrière aucune », promettent les organisateurs.