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Niâma Bakanziz : D’abord, FADL est une initiative nationale des projets de l’élève. Il a vu le jour, il y a quelques années à Biougra. Au début, la compétition entre les projets concernait juste les établissements de cette région. Avant que la liste des postulants ne soit élargie à d’autres régions. Les élèves relevant de cinq régions ont participé à cette deuxième édition que l’on peut qualifier de réussie, eu égard au nombre de projets présentés qui témoignent de l’engouement suscité par cette idée auprès des apprenants et de leurs professeurs.
Pour quelle raison ce programme a-t-il été lancé ?
Vous savez, cette nouvelle approche permet à l’élève de ne plus se confiner dans les programmes scolaires qui ne lui offrent pas souvent la possibilité de s’initier à des activités qu’il aime exercer. Ce programme a ouvert les horizons d’exploration des loisirs auprès des apprenants. C’est une initiative qui a toutes les chances de devenir une pépinière des futurs acteurs locaux.
Quels sont les principaux objectifs escomptés à travers cette action ?
Le programme FADL vise en premier lieu à faire participer les élèves aux projets de l’INDH, de les initier à la chose locale et de faire d’eux des intervenants capables d’apporter leurs contributions dans l’exécution de ces chantiers. Et cela à travers des contacts et partenariats, avec différents secteurs et institutions. Ainsi, ils sont impliqués pour les besoins de mener à terme leurs projets. Je pense que c’est une opportunité pour forger leurs personnalités, mais aussi pour développer leurs aptitudes et compétences.