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La Premier League restera-t-elle la chasse gardée de Manchester City? Avant la reprise, vendredi, Arsenal apparaît comme l'adversaire le plus menaçant pour le quadruple champion en titre, devant le Liverpool d'Arne Slot, successeur de Jürgen Klopp à la pré-saison encourageante.
Largués la saison dernière, Chelsea et Manchester United ont d'autres ambitions que le titre: créer une équipe cohérente malgré un effectif pléthorique pour les "Blues" d'Enzo Maresca, éviter les turbulences sur et en dehors du terrain pour les "Red Devils" d'Erik ten Hag.
Ces derniers devaient donner d'ailleurs le coup d'envoi de l'exercice 2024-2025, vendredi contre Fulham à Old Trafford.
La victoire surprise en finale de Coupe d'Angleterre, face au voisin Manchester City, a offert une bouffée d'oxygène, un ticket pour l'Europe (via la Ligue Europa) et une prolongation de contrat à ten Hag, pourtant sur la sellette avant ce "happy end".
La pression reste maximale pour l'entraîneur néerlandais après un mercato très actif, marqué par les arrivées de l'attaquant Joshua Zirkzee (Bologne), des défenseurs Matthijs De Ligt et Noussair Mazraoui (Bayern Munich) et du jeune Français Leny Yoro (Lille), toutefois indisponible pour les trois premiers mois après une blessure à un pied durant la préparation.
Le voisin Manchester City s'est fait plus discret sur le marché des transferts, avec l'ailier brésilien Savinho pour seule arrivée notable.
Les "Citizens", sacrés en Premier League durant six des sept dernières saisons, abordent la nouvelle année sans Julian Alvarez, parti à l'Atlético Madrid, et avec quelques nuages au-dessus d'eux.
Le club aux fonds émiratis devrait prochainement devoir répondre à l'enquête portant sur 115 possibles infractions aux règles financières, avec un verdict attendu en 2025, à une période qui coïncide avec la fin de contrat de son entraîneur à succès, Pep Guardiola.
A plus court terme, la plus grande menace pour City et le manager espagnol s'appelle Arsenal, leur dauphin des deux dernières saisons. "Ils sont en feu. Chaque année, on dirait qu'ils sont de plus en plus difficiles (à battre)", a-t-il reconnu.
Les "Gunners" disposent d'un effectif jeune mais déjà peuplé de valeurs sûres, à l'instar de William Saliba, Bukayo Saka et Gabriel Martinelli, et dont la défense (la meilleure de Premier League la saison dernière) s'est renforcée avec l'Italien Riccardo Calafiori, venu de Bologne.
L'entraîneur Mikel Arteta mise sur la stabilité et la persévérance dans la quête d'un titre que le club de Londres attend depuis 2004, celui des "Invincibles" d'Arsène Wenger.
Liverpool, troisième l'an passé, cherchera aussi à s'inviter dans la course finale, une mission qui commence samedi à Ipswich, un des trois clubs promus avec Southampton et Leicester.
Arne Slot a besoin d'une victoire pour repousser le fantôme de Jürgen Klopp, l'emblématique entraîneur de la dernière décennie (2015-2024), dont le départ soudain a créé une véritable onde de choc.
Les succès contre Arsenal, Manchester United et Séville, durant l'intersaison, ont constitué un premier pas dans la bonne direction pour les "Reds", qui n'ont attiré aucune recrue pour l'heure.
Chelsea, à l'inverse, s'est montré beaucoup plus actif, comme à son habitude, en signant notamment le gardien danois Filip Jorgensen (ex-Villarreal) et l'ailier portugais Pedro Neto (ex-Wolverhampton).
Enzo Maresca, comme Mauricio Pochettino avant lui, se retrouve aux commandes d'un effectif pléthorique, avec plus de cinquante joueurs sous contrat. L'Italien devra vite trouver une équipe-type, gérer les états d'âmes des bannis et créer une identité de jeu identifiable et séduisante pour le public de Stamford Bridge.
Le baptême du feu s'annonce bouillant puisque le premier visiteur, dimanche à Londres, n'est autre que le Manchester City de Guardiola, dont il a été l'adjoint avant de briller sur le banc de Leicester en Championship l'année dernière.
Largués la saison dernière, Chelsea et Manchester United ont d'autres ambitions que le titre: créer une équipe cohérente malgré un effectif pléthorique pour les "Blues" d'Enzo Maresca, éviter les turbulences sur et en dehors du terrain pour les "Red Devils" d'Erik ten Hag.
Ces derniers devaient donner d'ailleurs le coup d'envoi de l'exercice 2024-2025, vendredi contre Fulham à Old Trafford.
La victoire surprise en finale de Coupe d'Angleterre, face au voisin Manchester City, a offert une bouffée d'oxygène, un ticket pour l'Europe (via la Ligue Europa) et une prolongation de contrat à ten Hag, pourtant sur la sellette avant ce "happy end".
La pression reste maximale pour l'entraîneur néerlandais après un mercato très actif, marqué par les arrivées de l'attaquant Joshua Zirkzee (Bologne), des défenseurs Matthijs De Ligt et Noussair Mazraoui (Bayern Munich) et du jeune Français Leny Yoro (Lille), toutefois indisponible pour les trois premiers mois après une blessure à un pied durant la préparation.
Le voisin Manchester City s'est fait plus discret sur le marché des transferts, avec l'ailier brésilien Savinho pour seule arrivée notable.
Les "Citizens", sacrés en Premier League durant six des sept dernières saisons, abordent la nouvelle année sans Julian Alvarez, parti à l'Atlético Madrid, et avec quelques nuages au-dessus d'eux.
Le club aux fonds émiratis devrait prochainement devoir répondre à l'enquête portant sur 115 possibles infractions aux règles financières, avec un verdict attendu en 2025, à une période qui coïncide avec la fin de contrat de son entraîneur à succès, Pep Guardiola.
A plus court terme, la plus grande menace pour City et le manager espagnol s'appelle Arsenal, leur dauphin des deux dernières saisons. "Ils sont en feu. Chaque année, on dirait qu'ils sont de plus en plus difficiles (à battre)", a-t-il reconnu.
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Liverpool, troisième l'an passé, cherchera aussi à s'inviter dans la course finale, une mission qui commence samedi à Ipswich, un des trois clubs promus avec Southampton et Leicester.
Arne Slot a besoin d'une victoire pour repousser le fantôme de Jürgen Klopp, l'emblématique entraîneur de la dernière décennie (2015-2024), dont le départ soudain a créé une véritable onde de choc.
Les succès contre Arsenal, Manchester United et Séville, durant l'intersaison, ont constitué un premier pas dans la bonne direction pour les "Reds", qui n'ont attiré aucune recrue pour l'heure.
Chelsea, à l'inverse, s'est montré beaucoup plus actif, comme à son habitude, en signant notamment le gardien danois Filip Jorgensen (ex-Villarreal) et l'ailier portugais Pedro Neto (ex-Wolverhampton).
Enzo Maresca, comme Mauricio Pochettino avant lui, se retrouve aux commandes d'un effectif pléthorique, avec plus de cinquante joueurs sous contrat. L'Italien devra vite trouver une équipe-type, gérer les états d'âmes des bannis et créer une identité de jeu identifiable et séduisante pour le public de Stamford Bridge.
Le baptême du feu s'annonce bouillant puisque le premier visiteur, dimanche à Londres, n'est autre que le Manchester City de Guardiola, dont il a été l'adjoint avant de briller sur le banc de Leicester en Championship l'année dernière.