-
Ghassane El Machrafi : Le projet de Zenata conçu pour répondre aux besoins de Casablanca les plus pressants
-
Développement industriel : Le Maroc plaide à Vienne pour une coopération Sud-Sud et triangulaire
-
Finalisation du tracé du Gazoduc Nigeria-Maroc
-
Participation marocaine au Sommet d'investissement SelectUSA : Un reflet de la vitalité du partenariat économique entre Rabat et Washington
-
Le déficit budgétaire s’accentue à fin avril 2025

Les stocks des céréales, détenus par les opérateurs déclarés à l’ONICL et au niveau des silos portuaires, ont atteint 20,5 Mqx à fin janvier, en baisse de 16% par rapport au mois de décembre 2012, note la même source, expliquant que par groupe d’opérateurs, les commerçants négociants et les coopératives ont réalisé 80% de la collecte de blé tendre.
Pour ce qui est du cumul des importations, il a atteint 32,3 Mqx à fin janvier, en progression de 24% par rapport au cumul à fin janvier de la campagne précédente.
Ces importations sont constituées de maïs (13,7 Mqx), de blé tendre (13,6 Mqx), de blé dur (4,1 Mqx) et d’orge (0,9 Mqx).
L’ONICL souligne que le Brésil s’est accaparé 29% du cumul des importations du Royaume à fin janvier, suivi par l’Ukraine (19%), la France (17%), l’Argentine (15%), le Canada (13%), la Russie (5%), la Lituanie, la Bulgarie et le Paraguay (1%).
La transformation industrielle des céréales a atteint 42,6 Mqx depuis le début de la campagne 2012-2013, soit une régression de plus de 7% par rapport à la même période de la campagne précédente.
A fin janvier, la minoterie industrielle a écrasé 42% de blé tendre de production locale. Les farines libres et subventionnées représentent respectivement 54 et 14% des fabrications de la minoterie industrielle, note la même source.
Pour leur part, les semoules industrielles sont fabriquées principalement à partir du blé dur (89%) et d’orge (11%).
La fabrication des farines subventionnées (FNBT), quant à elle, est faite à hauteur de 89% du blé tendre de la production nationale.