Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Les racketteurs qui rançonnent les opérateurs de bus au Guatemala exigent en décembre une "prime de Noël" équivalant à 50% du butin habituel.
Les redoutables "maras" ou gangs de rue de ce pays d'Amérique centrale tirent de juteux revenus de cette pratique de rançonnement en récoltant près de 10.000 dollars par jour.
Selon l'association des propriétaires de bus, ils obligent propriétaires et chauffeurs de ces bus souvent bringuebalants à verser une "contribution" d'environ 180 dollars par mois.
En décembre, le pays s'arrête traditionnellement pendant deux semaines au moment des fêtes pour permettre aux familles de se réunir.
"Les gangs exigent plus en décembre de manière à s'offrir de belles vacances à Noël et à se prélasser sur les plages", témoigne un chauffeur, qui est mis à contribution par la "mara 18", un gang de sinistre réputation actif dans toute l'Amérique centrale et qui vit de cambriolages et du trafic de stupéfiants.
Le Guatemala est l'un des pays les plus violents d'Amérique latine, avec plus de 6.000 meurtres signalés en 2008 pour une population de 13 millions d'habitants.
Les redoutables "maras" ou gangs de rue de ce pays d'Amérique centrale tirent de juteux revenus de cette pratique de rançonnement en récoltant près de 10.000 dollars par jour.
Selon l'association des propriétaires de bus, ils obligent propriétaires et chauffeurs de ces bus souvent bringuebalants à verser une "contribution" d'environ 180 dollars par mois.
En décembre, le pays s'arrête traditionnellement pendant deux semaines au moment des fêtes pour permettre aux familles de se réunir.
"Les gangs exigent plus en décembre de manière à s'offrir de belles vacances à Noël et à se prélasser sur les plages", témoigne un chauffeur, qui est mis à contribution par la "mara 18", un gang de sinistre réputation actif dans toute l'Amérique centrale et qui vit de cambriolages et du trafic de stupéfiants.
Le Guatemala est l'un des pays les plus violents d'Amérique latine, avec plus de 6.000 meurtres signalés en 2008 pour une population de 13 millions d'habitants.