-
SIAM. Le pôle élevage, un potentiel colossal qui force l'admiration
-
Ouverture du marché brésilien aux agrumes marocains
-
Meknès : le 16ème SIAM ouvre ses portes au grand public
-
Allemagne : Le Pavillon du Maroc fait sensation à la Foire de Hanovre
-
Lancement d’un projet de suivi et reporting en matière de devoir de vigilance
Les pays africains sont appelés à mettre en œuvre des politiques et des stratégies efficaces en matière de sécurité routière pour atténuer le taux de mortalité routière en Afrique, ont souligné les ministres dans la Déclaration finale sanctionnant cet événement d'envergure organisé sous le thème "Sécurité routière en Afrique, facteur de développement durable".
Ils ont, ainsi incité l'ensemble des Etats africains à s'engager davantage dans le financement de tous les aspects de la sécurité routière, rapporte la MAP.
Les responsables gouvernementaux ont également mis en avant l'impératif de créer des agences chefs de file pour gérer la sécurité routière et d'augmenter les budgets alloués à la sécurité routière dans le continent.
Les ministres africains ont, par la même occasion, appelé à l'adoption de mesures encourageant l'importation de véhicules plus propres, plus sûrs et plus efficaces, y compris les véhicules d'occasion.
Les pays africains doivent donner la priorité au développement de leur système d'enregistrement des faits d'état civil et de leurs statistiques de l'état civil en impliquant toutes les parties prenantes et tous les partenaires internationaux, recommande la Déclaration.
De même, l'accent a été mis sur la promotion du partenariat avec la société civile en tant qu'acteur clé dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de sécurité routière.
Ils ont aussi déploré le taux de mortalité par accident en Afrique, considéré comme le plus élevé au monde, notant que les accidents privent le continent de précieuses ressources qu’il pourrait utiliser pour sa croissance et son développement.
Placé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, ce Forum continental a été organisé à l'initiative du ministère de l'Equipement, du Transport, de la Logistique et de l'Eau, du Comité national de prévention des accidents de la circulation (CNPAC) et du Programme de politiques de transport en Afrique (SSATP).