-
Usages licites du cannabis. 2.905 autorisations délivrées jusqu’au 23 avril courant
-
Interpellation d'un individu pour atteinte aux systèmes de traitement automatisé des données numériques
-
Un grand pas vers la protection collective
-
Baisser de rideau sur le Forum de l’étudiant à Casablanca
-
Les Ombudsmans et les Médiateurs, des instances centrales garantissant aux enfants la jouissance de tous les droits fondamentaux
Cet engorgement est parfois causé par des données de planification à moyen terme en ce qui concerne les attentes des nombres d'élèves, la carte et bâtiments scolaires ainsi que la répartition des ressources humaines, a expliqué le ministre en réponse à une question orale du groupement justice et développement à la Chambre des représentants, rassurant que des efforts sont en cours pour améliorer le processus de planification.
Ce phénomène s’explique aussi, selon le ministre, par des facteurs conjoncturels liés à la rentrée scolaire, au transfert d’établissement, au taux de réussite des élèves en plus de l’accès de certain enseignants aux classes. M. Bensmoussa a ainsi souligné la nécessité d’adopter des solutions locales pour résoudre ce problème.
D'autre part, le ministre a noté que l'année académique en cours a vu l'ouverture de 5.300 nouvelles classes et 15.000 emplois, ajoutant que 20.000 autres emplois seront disponibles l'année, l'objectif étant de réduire le taux de surpeuplement et "l’amélioration des résultats d'année en année."