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S’exprimant lors d’une conférence initiée par l’Université privée de Marrakech (UPM) sous le thème «Les énergies renouvelables et leur impact sur le développement régional», Bakkoury a ajouté que cette feuille de route, qui ambitionne d’atteindre une production de 2.000 Mégawatts à l’horizon 2020, est dictée par la dynamique socioéconomique que connaît le Maroc, mais aussi par les besoins énergétiques de plus en plus pressants du Royaume notamment, face à l’augmentation des prix des énergies classiques, en l’occurrence celui du pétrole.
Et de poursuivre que cette stratégie est de nature à réduire la dépendance énergétique du Maroc, et à encourager les investissements nationaux et étrangers dans le domaine de l’énergie solaire, considéré désormais comme cheville-ouvrière de développement des énergies renouvelables (éolienne et hydraulique). Il a relevé que la promotion de l’énergie solaire aura un impact positif en termes de garantie des besoins du Maroc en énergie électrique, d’autant plus que cette énergie peut constituer à l’avenir un axe stratégique d’exportation de l’énergie vers l’Europe.
M. Bakkoury a tenu également à indiquer que le projet marocain du Solaire est un «projet intégré» de production de l’électricité à base de l’énergie solaire, à même de permettre d’atteindre une production de 4.500 Gigawatts/heure annuellement, soit 18% de la production nationale actuelle.
Ce projet est axé également sur d’autres programmes liés pour l’essentiel à la promotion de la formation et de la spécialisation technique, à la recherche et au développement et à la mise à niveau d’une industrie solaire solide et intégrée.