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Maroc/Egypte: le ministre égyptien du Commerce extérieur pour une balance commerciale équilibrée
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Port de Tanger: Légère baisse des débarquements de pêche à fin août
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Les dépôts auprès des banques augmentent de 8,3% à fin juillet
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L'indice de production des industries manufacturières poursuit sa tendance haussière
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Trente entrepreneurs français au Maroc pour le 1er Roadshow du Cercle Eugène Delacroix
L'ouvrage présente une approche démontrant les liens étroits qui existent entre le volet institutionnel et politique d'un pays et sa capacité à drainer des investissements étrangers et contribuer ainsi à la croissance de ses entreprises.
Editée par la Fondation du Roi Abdul Aziz Al Saoud pour les Etudes Islamiques et les Sciences Humaines en décembre 2009, la publication (428 pages) est tirée d'une thèse de doctorat traitant le processus économique en tant que variable dans le processus de démocratisation.
L'ouvrage analyse les investissements étrangers au Maroc durant la période 1990-2006, les secteurs concernés et les pays émetteurs, en deux parties traitant de l'élargissement des motivations et garanties offertes aux investisseurs étrangers et l'impact économique et politique sur les investissements étrangers au Maroc.
L'engouement des investisseurs étrangers pour le Maroc s'explique par l'ouverture de l'économie du Royaume, qui s'est doté d'un arsenal juridique encourageant, a précisé l'auteur de l'ouvrage, ajoutant que le flux important des investissements a permis de faire émerger une nouvelle méthode de gestion et conforter le rôle des promoteurs économiques dans la prise de décision politique.
Initiée par la revue Economia et la revue marocaine des politiques publiques avec le concours de la fondation Friedrich Naumann, cette table-ronde a été marquée par la présence du ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Ahmed Reda Chami, qui a mis l'accent sur l'importance de la stabilité politique dans la décision des investisseurs internationaux.