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A chaque dixième jour de Mouharram on fête l’Achoura. Les sunnites jeûnent deux jours durant, les 9 et 10, de ce premier mois du calendrier de l'Hégire, tandis que les chiites, eux, pleurent le martyre de Hossein. A chacun sa commémoration et ses rituels donc, pour celui ou celle qui a fait vœu d’un ordre religieux bien donné.
Ici-bled, mis à part les quelques assiduités de recueillement, l’Achoura, on la célèbre ‘’taarija’’ battant pour les filles et fillettes, ‘’mjimir’’ et ‘’charwita’’ ensorcelante à titre de sortilège au volage de mari, ou amant, pétard détonant, pneu flambant et un tas d’autres petits dérangements entre autres incivilités, œuvres de garçons, garçonnets, jeunes ou moins jeunes mineurs, oisifs et à qui des adultes ‘’bienveillants’’ ont permis la bêtise caractérisée en ce jour sacré, ‘’instead’’ d’éventuels moments de piété plus appropriés à la circonstance.
Le pétard est, selon le commun des dicos, une charge d’explosif qui, en éclatant, tonne fortement et avec fracas. Mais il ne se limite pas à cette seule signification. Parfois acoquinant avec d’autres verbes, il s’envole vers des sens paradoxaux. Quand d’exemple, on le roule, ou l’on regarde dans le dos ou lorsqu’il s’agit de dire une méchanceté ou bien de décrire quelqu’un, il jonglera selon son humeur entre le familier et le renversant. D’autres états lui sont connus. Pour peu qu’il ne soit pas mouillé, dès lors qu’il est lancé, il est, nouvelle à sensation. Sorti, il est mortel car flingue il devient et enfin, il peut revenir tout bonnement à son sens premier, quand on est en pétard.
Plus gentiment, au Québec c’est une plante au joli sobriquet de silène. Au Maroc, il répond en éclatant aux doux noms de Zidaniya, Daech, Messi, Pokémon, Njoum, Ne7la, Tyara, etc d’où une dangerosité manifeste. Car bien plus que les désagréments assourdissants qu’il provoque, le pétard est reconnu d’utilité périlleuse pour son manipulateur. Si des doigts et des yeux perdus d’enfants et d’ados en mal de sensations fortes, pouvaient, ils vous confirmeront combien peut-être dramatique l’effet retour ou manivelle à son allumage.
Par ailleurs, faut-il le rappeler, s’adonner à ce loisir illicite et explosif de par son matériel au demeurant, peut, militairement vôtre, conduire à la douce paille des cellules.
Ici-bled, mis à part les quelques assiduités de recueillement, l’Achoura, on la célèbre ‘’taarija’’ battant pour les filles et fillettes, ‘’mjimir’’ et ‘’charwita’’ ensorcelante à titre de sortilège au volage de mari, ou amant, pétard détonant, pneu flambant et un tas d’autres petits dérangements entre autres incivilités, œuvres de garçons, garçonnets, jeunes ou moins jeunes mineurs, oisifs et à qui des adultes ‘’bienveillants’’ ont permis la bêtise caractérisée en ce jour sacré, ‘’instead’’ d’éventuels moments de piété plus appropriés à la circonstance.
Le pétard est, selon le commun des dicos, une charge d’explosif qui, en éclatant, tonne fortement et avec fracas. Mais il ne se limite pas à cette seule signification. Parfois acoquinant avec d’autres verbes, il s’envole vers des sens paradoxaux. Quand d’exemple, on le roule, ou l’on regarde dans le dos ou lorsqu’il s’agit de dire une méchanceté ou bien de décrire quelqu’un, il jonglera selon son humeur entre le familier et le renversant. D’autres états lui sont connus. Pour peu qu’il ne soit pas mouillé, dès lors qu’il est lancé, il est, nouvelle à sensation. Sorti, il est mortel car flingue il devient et enfin, il peut revenir tout bonnement à son sens premier, quand on est en pétard.
Plus gentiment, au Québec c’est une plante au joli sobriquet de silène. Au Maroc, il répond en éclatant aux doux noms de Zidaniya, Daech, Messi, Pokémon, Njoum, Ne7la, Tyara, etc d’où une dangerosité manifeste. Car bien plus que les désagréments assourdissants qu’il provoque, le pétard est reconnu d’utilité périlleuse pour son manipulateur. Si des doigts et des yeux perdus d’enfants et d’ados en mal de sensations fortes, pouvaient, ils vous confirmeront combien peut-être dramatique l’effet retour ou manivelle à son allumage.
Par ailleurs, faut-il le rappeler, s’adonner à ce loisir illicite et explosif de par son matériel au demeurant, peut, militairement vôtre, conduire à la douce paille des cellules.