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«Le partenariat social se veut un véritable vecteur de croissance économique dans notre pays en raison du potentiel à la fois de création de richesse et de promotion de l'emploi, mais aussi de la mise en œuvre d'activités solidaires, relevant notamment du domaine de la pauvreté, de l'éducation et de la santé ainsi que d'autres secteurs stratégiques importants pour le quotidien du citoyen», a souligné M. Guerraoui, dans une déclaration à la MAP en marge d'une table ronde organisée par le CESE sous le thème «Le partenariat social: une perspective pour un nouveau modèle de croissance».
Il a relevé par la même occasion la nécessité d'assurer l'efficience économique des différentes actions sociales menées en vue de garantir un partenariat social susceptible de répondre efficacement aux attentes des citoyens marocains.
«Le Maroc a une longue tradition en matière d'entrepreneuriat social, d'économie sociale et solidaire qu'il convient d'accompagner par la sensibilisation, à travers la formation et une meilleure gouvernance des institutions œuvrant dans ce domaine» a-t-il ajouté.
Le secrétaire général du CESE a, en outre, déploré la pénurie d'informations relatives aux associations, mutuelles et coopératives militantes dans le domaine, relevant la nécessité d'évaluer l'impact de leurs actions sur le plan social, les dysfonctionnements dont elles souffrent et les défis auxquels elles sont confrontées. «Nous disposons que de très peu d'informations sur les acteurs de l'économie sociale et solidaire et leur contribution notamment en matière de création d'emploi et de génération de richesse (...) Comme défis, nous devons relever ce déficit de connaissance, renforcer la capacité institutionnelle de la gouvernance et garantir un financement approprié à ces institutions», a-t-il dit.