Le film "L’Mina" de la réalisatrice marocaine Randa Maroufi a obtenu une mention spéciale du jury de la compétition internationale du court métrage au Festival du film de Doha 2025, dont les activités se sont achevées vendredi soir.
Réalisé sur une période de quatre ans, ce court métrage, qui revisite la mémoire ouvrière de la ville de Jerada à travers une démarche artistique participative, a été distingué aux côtés du film égyptien "Zizo" d’Ammar Ahmed.
Le prix du meilleur film de cette catégorie a été attribué au film brésilien "Samba Infinito" du réalisateur Leonardo Martinelli, tandis que le prix de la meilleure réalisation a été décerné au duo Aria Sánchez-Marina Mira (Espagne/Cuba) pour leur film "Primera enseñanza" (Cycle primaire).
Dans la compétition des longs métrages, le film espagnol "La Ville sans sommeil" du réalisateur Guillermo Galoe a remporté le prix du meilleur long métrage de fiction, alors que le film japonais "Renoir" de Chi Hayakawa et le film "With Hasan in Gaza" du réalisateur Kamal Al Jafari ont partagé le prix de la meilleure réussite artistique.
Dans la catégorie Made in Qatar, décernée par le festival, le film "Fahd le Furieux" du réalisateur Justin Kramer a remporté le prix principal, tandis que son acteur Rashid Al Shaib a décroché le prix de la meilleure interprétation. Eiman Mirghani a, pour sa part, été récompensée par le prix de la meilleure réalisation pour son court métrage "Villa 187", alors que le film "Aïcha" du réalisateur Fahd Al Nahdi a obtenu une mention spéciale.
Le prix du meilleur long métrage dans la compétition Ajyal Film est revenu à "La Voix de Hend Rajab" de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania, tandis que le film d’animation français "Sulaimani" de la réalisatrice Vinnie Ann Bose a remporté le prix du meilleur court métrage.
Cette édition du festival, qui s’inscrit dans la continuité de quinze années d’initiatives portées par la Doha Film Institute, a proposé une sélection de 97 films issus de 62 pays, accompagnée d’un programme étoffé comprenant des débats avec des cinéastes, des performances musicales et diverses activités interactives destinées au public.
Les œuvres projetées ont mis en lumière une réalité sociale authentique, à travers des récits humains portés par une narration affirmée, des choix artistiques novateurs et des regards cinématographiques engagés.
Réalisé sur une période de quatre ans, ce court métrage, qui revisite la mémoire ouvrière de la ville de Jerada à travers une démarche artistique participative, a été distingué aux côtés du film égyptien "Zizo" d’Ammar Ahmed.
Le prix du meilleur film de cette catégorie a été attribué au film brésilien "Samba Infinito" du réalisateur Leonardo Martinelli, tandis que le prix de la meilleure réalisation a été décerné au duo Aria Sánchez-Marina Mira (Espagne/Cuba) pour leur film "Primera enseñanza" (Cycle primaire).
Dans la compétition des longs métrages, le film espagnol "La Ville sans sommeil" du réalisateur Guillermo Galoe a remporté le prix du meilleur long métrage de fiction, alors que le film japonais "Renoir" de Chi Hayakawa et le film "With Hasan in Gaza" du réalisateur Kamal Al Jafari ont partagé le prix de la meilleure réussite artistique.
Dans la catégorie Made in Qatar, décernée par le festival, le film "Fahd le Furieux" du réalisateur Justin Kramer a remporté le prix principal, tandis que son acteur Rashid Al Shaib a décroché le prix de la meilleure interprétation. Eiman Mirghani a, pour sa part, été récompensée par le prix de la meilleure réalisation pour son court métrage "Villa 187", alors que le film "Aïcha" du réalisateur Fahd Al Nahdi a obtenu une mention spéciale.
Le prix du meilleur long métrage dans la compétition Ajyal Film est revenu à "La Voix de Hend Rajab" de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania, tandis que le film d’animation français "Sulaimani" de la réalisatrice Vinnie Ann Bose a remporté le prix du meilleur court métrage.
Cette édition du festival, qui s’inscrit dans la continuité de quinze années d’initiatives portées par la Doha Film Institute, a proposé une sélection de 97 films issus de 62 pays, accompagnée d’un programme étoffé comprenant des débats avec des cinéastes, des performances musicales et diverses activités interactives destinées au public.
Les œuvres projetées ont mis en lumière une réalité sociale authentique, à travers des récits humains portés par une narration affirmée, des choix artistiques novateurs et des regards cinématographiques engagés.









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