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Cadres et employés ont répondu massivement à l’appel lancé par le bureau national de l’Association des retraités d’Altadis. Venus de Marrakech, Tétouan, Kénitra, Salé, Agadir, entre autres, les protestataires ont, en effet, répondu présents pour crier haut et fort leur indignation et leur colère quant au sort de leur dossier revendicatif, pourtant légitime, qui n’a que trop duré.
Cette action militante intervient après que ces retraités ont épuisé toutes les tentatives de dialogue en vue de parvenir à une solution définitive juste et équitable. Pourtant, ils avaient obtenu gain de cause après un long combat judiciaire. Mais les jugements prononcés en leur faveur condamnant la société à leur restituer intégralement les prélèvements fiscaux dus, à leur concéder le droit de dotation gratuite des cigarettes et à leur octroyer le droit de bénéficier d'une pension complète à partir de la date de leur départ à la retraite n’ont pas été exécutés.
Cette audience, sur laquelle des centaines de retraités fondaient de grands espoirs a été malheureusement encore une fois reportée au 19 décembre 2017.
Par ailleurs, le bureau national de l’association des retraités d’Altadis a décidé de tenir des sit-in chaque mardi devant la Cour de cassation en vue de faire entendre leur voix et recouvrer leurs droits.
Il y a lieu de rappeler que ces retraités qui ne réclament que leur droit à une retraite décente et paisible ont organisé une série de protestations et tenu nombre de sit-in pour faire valoir leurs revendications. Mais, malheureusement, Altadis persiste à faire la sourde oreille et à nier les droits de centaines d’employés et de cadres qui, des décennies durant, se sont dépensés à fond au service de la défunte Régie des tabacs ou l’actuelle Altadis.












