Autres articles
Le Wydad a assuré l’essentiel, en surclassant, samedi au Complexe Mohamed V à Casablanca, l’équipe nigériane d’Enyimba par un but à zéro, et ce pour le compte de la demi-finale aller de la Ligue africaine des clubs champions.
Courte victoire, certes, mais combien précieuse face à un adversaire qui s’est bien défendu, ne laissant rien filtrer au grand dam des Wydadis et de leurs supporteurs qui ont laissé dans la caisse du club la bagatelle somme d’un peu plus d’un million de dirhams comme recette.
Pour les protégés de Michel Decatel, les choses étaient bien claires : faire le plein à la maison pour aborder la rencontre retour prévue d’ici une quinzaine de jours dans de parfaites dispositions. Sauf qu’entre vouloir et pouvoir, il ya une sacrée différence et l’équipe nigériane, qui reste sur onze matches sans défaites en C1 continentale, s’était rendue à Casablanca avec la ferme intention de revenir avec les moindres dégâts si ce n’est aucun.
Et quand une formation compte dans ses rangs un excellent gardien de la trempe de ce Paul et d’une arrière-garde des plus hermétiques, elle peut aspirer à réaliser de probants résultats en dehors de ses bases. Cependant, le WAC voulait tellement cette victoire, au point que cette explication fut à sens unique. Mohcine Iajour, Fabrice Ondama et l’excellent Ayoub Skouma ont beau manœuvrer, mais ils ont buté sur une défense qui tenait bon et un keeper qui ferait le bonheur de n’importe quel grand club.
Au cours du second half, la partie n’a pas changé de physionomie. Les Wydadis poussaient et cherchaient par tous les moyens à trouver la faille. L’issue de parité, un score qui leur a collé durant ce parcours africain, quatre nuls, contre une victoire et une défaite lors de la phase de poules, ne les arrangeait point.
Croyant à fond en leurs chances, les Rouge et Blanc n’ont pas baissé les bras et les changements apportés par le coach ont apporté leur fruit, même si, de l’avis de certains, la sortie de Iajour n’était pas appropriée. Puisqu’au cours de la dernière demi-heure du jeu où le WAC avait pris d’assaut le camp d’Enyimba, Mohcine Iajour aurait pu être beaucoup plus déterminant aux côtés d’Ondama qui vient de renouveler son contrat avec le WAC, rempilant pour deux nouvelles saisons.
Comme à l’accoutumée, une fois intégré dans l’aire de jeu, le virevoltant Youssef El Keddioui n’a pas tardé à semer davantage de zizanie dans la défense d’Enyimba qui ne faisait que repousser les attaques du WAC qui a retrouvé un nouveau souffle avec l’entrée de Pascal Anygan et Yasser Lakhal. Et il était donc tout à fait logique que les efforts des partenaires du capitaine Nadir Lamyaghri, qui a dû passer apparemment l’une des soirées les plus pénardes de sa carrière, soient récompensés suite à un but à moins de deux minutes de la fin du temps réglementaire : un centre de Lakhal et un headding de Pascal et voilà un but qui a libéré toute la famille wydadie qui nourrit l’espoir légitime de voir le club étoffer son palmarès par une Ligue des champions, trophée que les Rouges avaient remporté dans son ancienne version en 1992 aux dépens des Soudanais d’Al Hilal.
A propos de ces derniers, ils devaient accueillir hier à Omderman pour le compte de la seconde demi-finale les Tunisois de l’Espérance, donnés comme favoris pour la consécration finale.
Michel Decastel : “on a joué de malchance”
"Notre équipe a joué une très bonne première mi-temps en se créant plusieurs occasions, surtout sur balles arrêtées qui ont, toutefois, été mal négociées. C'est avec un peu d'amertume qu'on a constaté que les joueurs ont raté de si peu l'ouverture du score en première période. A la reprise, on a profité de la fraicheur physique des remplaçants, qui ont apporté un plus à la ligne d'attaque et ont aéré le jeu. Malheureusement, la balle ne voulait pas rentrer. Il faut dire qu'on a joué de malchance. Pourtant on a bien pressé l'adversaire et emmener le danger dans son camp pendant toute la deuxième mi-temps. Enyimba est une équipe redoutable qui vient d'encaisser sa première défaite lors de cette Ligue des Champions. Le WAC méritait de gagner et même un 3-0 aurait été amplement mérité."
Courte victoire, certes, mais combien précieuse face à un adversaire qui s’est bien défendu, ne laissant rien filtrer au grand dam des Wydadis et de leurs supporteurs qui ont laissé dans la caisse du club la bagatelle somme d’un peu plus d’un million de dirhams comme recette.
Pour les protégés de Michel Decatel, les choses étaient bien claires : faire le plein à la maison pour aborder la rencontre retour prévue d’ici une quinzaine de jours dans de parfaites dispositions. Sauf qu’entre vouloir et pouvoir, il ya une sacrée différence et l’équipe nigériane, qui reste sur onze matches sans défaites en C1 continentale, s’était rendue à Casablanca avec la ferme intention de revenir avec les moindres dégâts si ce n’est aucun.
Et quand une formation compte dans ses rangs un excellent gardien de la trempe de ce Paul et d’une arrière-garde des plus hermétiques, elle peut aspirer à réaliser de probants résultats en dehors de ses bases. Cependant, le WAC voulait tellement cette victoire, au point que cette explication fut à sens unique. Mohcine Iajour, Fabrice Ondama et l’excellent Ayoub Skouma ont beau manœuvrer, mais ils ont buté sur une défense qui tenait bon et un keeper qui ferait le bonheur de n’importe quel grand club.
Au cours du second half, la partie n’a pas changé de physionomie. Les Wydadis poussaient et cherchaient par tous les moyens à trouver la faille. L’issue de parité, un score qui leur a collé durant ce parcours africain, quatre nuls, contre une victoire et une défaite lors de la phase de poules, ne les arrangeait point.
Croyant à fond en leurs chances, les Rouge et Blanc n’ont pas baissé les bras et les changements apportés par le coach ont apporté leur fruit, même si, de l’avis de certains, la sortie de Iajour n’était pas appropriée. Puisqu’au cours de la dernière demi-heure du jeu où le WAC avait pris d’assaut le camp d’Enyimba, Mohcine Iajour aurait pu être beaucoup plus déterminant aux côtés d’Ondama qui vient de renouveler son contrat avec le WAC, rempilant pour deux nouvelles saisons.
Comme à l’accoutumée, une fois intégré dans l’aire de jeu, le virevoltant Youssef El Keddioui n’a pas tardé à semer davantage de zizanie dans la défense d’Enyimba qui ne faisait que repousser les attaques du WAC qui a retrouvé un nouveau souffle avec l’entrée de Pascal Anygan et Yasser Lakhal. Et il était donc tout à fait logique que les efforts des partenaires du capitaine Nadir Lamyaghri, qui a dû passer apparemment l’une des soirées les plus pénardes de sa carrière, soient récompensés suite à un but à moins de deux minutes de la fin du temps réglementaire : un centre de Lakhal et un headding de Pascal et voilà un but qui a libéré toute la famille wydadie qui nourrit l’espoir légitime de voir le club étoffer son palmarès par une Ligue des champions, trophée que les Rouges avaient remporté dans son ancienne version en 1992 aux dépens des Soudanais d’Al Hilal.
A propos de ces derniers, ils devaient accueillir hier à Omderman pour le compte de la seconde demi-finale les Tunisois de l’Espérance, donnés comme favoris pour la consécration finale.
Michel Decastel : “on a joué de malchance”
"Notre équipe a joué une très bonne première mi-temps en se créant plusieurs occasions, surtout sur balles arrêtées qui ont, toutefois, été mal négociées. C'est avec un peu d'amertume qu'on a constaté que les joueurs ont raté de si peu l'ouverture du score en première période. A la reprise, on a profité de la fraicheur physique des remplaçants, qui ont apporté un plus à la ligne d'attaque et ont aéré le jeu. Malheureusement, la balle ne voulait pas rentrer. Il faut dire qu'on a joué de malchance. Pourtant on a bien pressé l'adversaire et emmener le danger dans son camp pendant toute la deuxième mi-temps. Enyimba est une équipe redoutable qui vient d'encaisser sa première défaite lors de cette Ligue des Champions. Le WAC méritait de gagner et même un 3-0 aurait été amplement mérité."
Bouqantar et Zahi remportent la course de de Bouskoura
