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«Etant donné les antécédents solides de gestion économique prudente du Maroc sur plusieurs années, on ne voit pas pourquoi il n'y aura pas un retour à une croissance économique résiliente et à des taux plus élevés», a expliqué M. Ahmed, lors d'une conférence de presse.
Le responsable du FMI a fait observer, à cet égard, que l'économie marocaine montre déjà un début de reprise en 2013, année devant être marquée par une croissance «aux alentours de 4,5% et une diminution du déficit budgétaire, conformément à l'agenda (de réformes) à moyen terme mis en œuvre par le gouvernement».
Il a aussi relevé que cet agenda vise essentiellement à remédier à certaines «vulnérabilités», en particulier la réduction des déficits, l'amélioration de la productivité économique et une croissance plus inclusive, se félicitant que l'un des points forts de ce programme économique reste sa «capacité démontrée à attirer des financements privés» étrangers.
Le directeur du Département Moyen-Orient et Asie centrale au FMI a rappelé que l'accord conclu en août dernier avec le Maroc portant sur une Ligne de précaution et de liquidité (LPL) de près de 6,3 milliards de dollars intervenait justement en soutien à ce programme économique.
Le premier examen des performances du Maroc réalisé par le FMI au début du mois dans le cadre de cet accord a, en effet, permis de réaffirmer la «qualification continue du Royaume à bénéficier des ressources» de cette ligne de crédit.
La LPL avait été introduite en 2011 par le FMI pour apporter des liquidités aux pays qui mènent de bonnes politiques économiques mais risquant de subir le contrecoup de tensions économiques et financières au niveau régional ou mondial.
Le Fonds a aussi estimé que les politiques économiques et fiscales mises en œuvre par le Royaume restent «adéquates» pour faire face aux chocs internes et externes actuels qui interviennent dans «un contexte de demandes sociales pressantes».