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Il a recommandé au contraire une expansion des efforts de relance, notamment budgétaire et monétaire, et davantage de réformes structurelles.
Les mesures de relance budgétaire, notamment par le biais de dépenses publiques et de réductions d’impôts, “doivent prendre une place plus importante dans le cocktail des politiques mises en oeuvre”, a affirmé M. Lipton.
“La tâche de relancer la croissance incombe davantage aux économies développées”, qui disposent de davantage de marge de manoeuvre budgétaire, a-t-il également affirmé.
“Les risques pesant sur la croissance sont clairement plus prononcés qu’auparavant et la nécessité d’actions plus fortes et concertées s’est renforcée”, a souligné M. Lipton.
Il a également cité “la volatilité sur les marchés financiers” et la chute des prix des matières premières comme sujets d’inquiétude pour la croissance mondiale.
“Pour le bien de l’économie globale, il est impératif que les pays développés et avancés combattent cette notion et revitalisent l’esprit d’initiative qui avait caractérisé les premières années de la relance” après la crise financière de 2008.