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Sont également sous-jacentes les questions de racisme, notamment grâce au personnage de la mère de Marie-Sophie absente dans la pièce, et qui refuse de se rendre au mariage de sa fille car son gendre est un « arabe ». Rejet de l’Autre également évoqué par les figures des policiers qui immobilisent « deux noirs » mais aussi la voiture de Rachid.
Au-delà de tous ces aspects, le mérite de la pièce est de faire surmonter au couple Rachid/ Marie-Sophie, tous les obstacles liés à leurs différences et de montrer qu’en amour les compromis sont toujours possibles et surtout nécessaires, et ce quelle que soit la culture de l’un et de l’autre.
En temps de débat sur l’identité nationale en France et de communautarisme ambiant ailleurs, cette assertion n’est pas forcément une évidence. Quoi de mieux alors qu’une pièce de théâtre drôle et émouvante pour nous le rappeler ? Le public casablancais, lui, ne s’y est pas trompé et s’est délecté de ce « Couscous aux lardons »…