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Des sources bien informées ont tenté de minimiser la portée de ce report en confirmant que la session d’avril est presque sans enjeu réel par rapport, par exemple, à la session de février consacrée au compte administratif.
Cependant, d’autres sources contactées par «Libé», ont affirmé que chaque fois qu’il y a un problème avant la tenue d’une session, les responsables du Conseil de la ville recourent à la procédure «du report», le but étant de donner libre cours aux tractations et négociations des coulisses pour parvenir à un consensus.
«Il y a une lutte pour partager le gâteau, notamment les délégations de signature; c’est la raison qui explique le report de la session d’avril», précise la source de «Libé». Et d’ajouter : «Cela permet aux responsables du Conseil de la ville de temporiser et de mener des tractations pour atténuer les tensions. Il y a des élus qui jouent le rôle de pompiers au sein du Conseil comme le premier vice-président du Conseil Mohamed Brija ou encore quelques élus du PJD».
Il y a quelques jours, des représentants des partis politiques représentés au Conseil de la ville à l’exception du PJD se sont réunis pour évaluer la Charte d’honneur signée le 11 janvier 2012 qui a mis fin à une crise au sein du Conseil et ce «avant la tenue de la session d’avril», avertit un communiqué de presse diffusé à l’issue de cette réunion informelle.
La même source a ajouté que la réunion a appelé également les responsables du Conseil de la ville à revoir la question des délégations de signature notamment celle détenue par le PJD dans le secteur de l’infrastructure, et de mettre fin à la mainmise d’un seul parti dans la gestion de la ville, en révisant ces délégations et en permettant aux autres partis d’y participer.










