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Le Maroc, signataire dès 1959 de la convention de New York pour la reconnaissance et l’exécution des sentences arbitrales étrangères (juin 1958), est une plateforme d’arbitrage au service des investisseurs et une place majeure en offrant un environnement très favorable à la médiation et à l’arbitrage et peut, dans ce contexte, jouer un rôle régional et même global, a-t-il indiqué à l’occasion de la tenue de la 4-ème édition des Journées d’arbitrage de Casablanca.
La médiation et l’arbitrage donnent beaucoup de quiétude aux investisseurs qui choisissent le Royaume comme pays d’investissement et, depuis quelques années, comme hub vers le continent africain, a relevé M.Zegrary lors de cet événement annuel réunissant les spécialistes du règlement des litiges en Afrique et dans le monde, rapporte la MAP.
L’avenir du CIMAC est prometteur. ‘’Cependant, il ne faut pas dormir sur ses lauriers mais continuer les efforts en organisant ce genre de conférences tout en pressant les entreprises marocaines, africaines et internationales à intégrer les clauses d’arbitrage et de médiation dans leurs contrats pour pouvoir se référer au Centre afin de régler leurs litiges selon les modes alternatifs de résolution des conflits comme si elles sont à Paris, à Londres ou ailleurs’’, a-t-il soutenu.
Ces journées, rendez-vous incontournable pour les experts en la matière, ont été aussi l’occasion pour le CIMAC de célébrer le 60-è anniversaire de l’instrument juridique international de référence pour l’arbitrage (Convention de New York) et de procéder à un regard rétrospectif sur ce texte ayant contribué à dynamiser les relations commerciales internationales ainsi que de discuter de l’avenir du Centre en tant qu’institution arbitrale et de Casablanca comme lieu d’arbitrage en Afrique.
Le CIMAC porte en lui la volonté de rassurer les investisseurs en l’existence d’un centre d’arbitrage et de médiation, impartial, indépendant et compétent pour la résolution des litiges. La Cour du CIMAC est composée de Marocains, d’Africains, d’Européens et d’Américains, combinant les traditions civilistes et de common law. Ces derniers sont des experts indépendants, dont l’expérience, la réputation, l’indépendance et le professionnalisme sont reconnus.








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