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Ce mémorandum, scellé en marge de la quatrième édition des Casablanca Arbitration Days (29/30 novembre), prévoit la possibilité d’organiser des audiences d’arbitrages administrés par le CIRDI dans les locaux du CIMAC, de contribuer à la recherche scientifique en matière de règlement des différends ainsi qu’à l’organisation d’évènements et de séminaires conjoints, indique le CIMAC dans un communiqué.
"Le choix du CIMAC comme partenaire du CIRDI témoigne de l’intérêt que représentent le Maroc et Casablanca pour les investisseurs mondiaux. Cela est en ligne avec l’objectif de Casablanca d’être une place internationale de l’arbitrage", a déclaré Hicham Zegrary, secrétaire général du CIMAC, cité dans le communiqué.
Les Casablanca Arbitration Days rassemblent, depuis 2014, chaque année à Casablanca des experts internationaux de l'arbitrage, faisant de la métropole une vitrine continentale avec la présence en moyenne de plus de 300 participants internationaux.La quatrième édition a confirmé son rôle de plateforme d’échange incontournable de l’arbitrage en Afrique, rapporte la MAP.
Pendant deux jours, des panelistes et participants du monde entier ont ainsi évoqué l’avenir du CIMAC et de Casablanca en tant qu’institution et lieu d’arbitrage sur le continent.
Créé en 2016 sous l’impulsion des autorités marocaines et de Casablanca Finance City Authority (CFCA), le CIMAC revendique son indépendance et son impartialité dans l’administration de ses activités.
Il affiche l’objectif d’être la place continentale de référence pour la résolution des litiges entre investisseurs africains et internationaux.
Le CIMAC se compose d’un conseil d’administration, d’une cour d’arbitrage et d’un comité de médiation ainsi que d’un secrétariat qui fournissent un service efficace aux investisseurs marocains, africains et internationaux dans la résolution de leurs litiges.
Quant au CIRDI, des Etats l’ont désigné comme instance pour le règlement des différends opposant un investisseur à un Etat dans la plupart des traités internationaux d’investissement, ainsi que dans de nombreuses lois sur l’investissement et de contrats.