-
Rabat : L'ANGSPE accueille une délégation de la DGPEIP de la République de Guinée
-
Cosumar vise une production de 600.000 tonnes de sucre dès 2026
-
Hausse des cours des céréales, de la viande et des produits laitiers à l’échelle mondiale
-
Marrakech accueille le 1er Forum Economique des Marocains du Monde
-
L’ONEE renforce et sécurise l’alimentation en eau potable de Souk El Arbaa, Larache, Ouazzane, Ksar El Kébir et des communes avoisinantes
Le ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime se voulait pourtant rassurant dans un communiqué publié à ce sujet: "Plusieurs facteurs atténuent les effets du retard des pluies notamment le taux de remplissage des barrages à usage agricole qui se situe à 63% (au 15 décembre) avec des taux assez importants au niveau des périmètres irrigués, qui affichent un disponible de 8,5 milliards de m3".
Toujours est-il que les barrages du Maroc ne couvrent que 15% des terres agricoles, les 85% restants dépendent toujours des pluies.
En 2014, l’agriculture a représenté 14,6% du Produit intérieur brut (PIB) du Maroc et près de 40% de l’emploi, dont 75 % en milieu rural. Un secteur vital donc mais vulnérable car tributaire des caprices du climat.
Une année de sécheresse toucherait la culture céréalière qui occupe une place prépondérante dans l’agriculture du pays, impacterait la croissance et aurait des répercussions sociales sur le monde rural.