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Des experts marocains et étrangers en régulation des médias et des technologies de l'information et de la communication ont plaidé, jeudi à Rabat, pour l'éducation aux médias et pour la protection du consommateur.
Réunis dans le cadre d'une conférence internationale initiée, les 30 et 31 janvier, par la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA), sous le thème: "La régulation des médias dans un environnement numérique, mobile et social: impératifs d'adaptation et enjeux de refondation", les participants ont insisté sur le développement de nouvelles approches internationales en phase avec l'universalité d’accès aux médias, la sensibilisation des jeunes à l’utilisation et à la consommation des médias et sur le renforcement de la confiance entre médias et jeunes.
Selon la synthèse des panels, les participants ont appelé les pouvoirs publics et le régulateur à favoriser le recours à des logiques incitatives et à un décloisonnement des politiques publiques, de manière à permettre le recours à plusieurs leviers d’action relevant de la réglementation, des mécanismes financiers, de la fiscalité, du droit d’auteur ou de la chronologie des médias.
L'accent a été, également, mis sur la modernisation et l’assouplissent du cadre réglementaire et le renforcement des actions d’accompagnement, sur la réinvention de nouveaux outils de régulation et l'encouragement du rapprochement des textes réglementaires au niveau régional et d'une régulation "systémique", pour une nouvelle forme d’auto et de co-régulation.
Les professionnels des médias ont, à ce propos, relevé que la co-régulation fait l’objet d’un consensus, notamment pour privilégier la protection des individus et des valeurs fondamentales, mais qui ne peut se substituer à la régulation classique. Selon eux, elle doit impliquer les différents secteurs dans l’élaboration de la règle, permettre plus de souplesse et développer l’organisation de la connaissance, en responsabilisant l’autogestion.
Les participants ont, aussi, souligné la nécessité d’œuvrer à la mise en place d’une écologie sociale des échanges ainsi que le besoin de la gratuité et de la réduction des coûts des fréquences en la matière.
Réunis dans le cadre d'une conférence internationale initiée, les 30 et 31 janvier, par la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA), sous le thème: "La régulation des médias dans un environnement numérique, mobile et social: impératifs d'adaptation et enjeux de refondation", les participants ont insisté sur le développement de nouvelles approches internationales en phase avec l'universalité d’accès aux médias, la sensibilisation des jeunes à l’utilisation et à la consommation des médias et sur le renforcement de la confiance entre médias et jeunes.
Selon la synthèse des panels, les participants ont appelé les pouvoirs publics et le régulateur à favoriser le recours à des logiques incitatives et à un décloisonnement des politiques publiques, de manière à permettre le recours à plusieurs leviers d’action relevant de la réglementation, des mécanismes financiers, de la fiscalité, du droit d’auteur ou de la chronologie des médias.
L'accent a été, également, mis sur la modernisation et l’assouplissent du cadre réglementaire et le renforcement des actions d’accompagnement, sur la réinvention de nouveaux outils de régulation et l'encouragement du rapprochement des textes réglementaires au niveau régional et d'une régulation "systémique", pour une nouvelle forme d’auto et de co-régulation.
Les professionnels des médias ont, à ce propos, relevé que la co-régulation fait l’objet d’un consensus, notamment pour privilégier la protection des individus et des valeurs fondamentales, mais qui ne peut se substituer à la régulation classique. Selon eux, elle doit impliquer les différents secteurs dans l’élaboration de la règle, permettre plus de souplesse et développer l’organisation de la connaissance, en responsabilisant l’autogestion.
Les participants ont, aussi, souligné la nécessité d’œuvrer à la mise en place d’une écologie sociale des échanges ainsi que le besoin de la gratuité et de la réduction des coûts des fréquences en la matière.