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La Russie a promis des primes allant jusqu’à 100.000 euros aux athlètes qui remporteront des médailles aux Jeux olympiques d’été à Londres, rapportent mardi des médias russes.
Le vainqueur d’une médaille d’or recevra une prime de 4 millions de roubles (environ 100.000 euros). La prime s’élèvera à 2,5 millions de roubles (environ 63.000 euros) pour une médaille d’argent, et à 1,7 million de roubles (43.000 euros) pour une médaille de bronze, précise le site d’information en ligne gazeta.ru.
L’Etat russe avait alloué les mêmes montants aux vainqueurs de médailles aux précédents Jeux olympiques d’été à Pékin en 2008, où la Russie était arrivée troisième au tableau des médailles (23 or, 21 argent, 28 bronze).
Le montant de la prime qui sera versée aux entraîneurs des médaillés à Londres sera fixé prochainement par les ministres russes des Sports et des Finances et le comité olympique russe, selon les mêmes sources.
Les meilleurs athlètes recevront en outre une prime versée par les autorités des communes où ils résident, à laquelle s’ajoutent les primes des sponsors.
Ainsi, la ville de Saint-Pétersbourg a annoncé le versement d’une prime d’un million de roubles (25.000 euros) pour une médaille d’or.
Aux JO de Pékin, la société financière Onexim avait versé une prime de trois millions de roubles (76.000 euros) à chaque champion olympique russe évoluant au club sportif du CSKA Moscou.
Pour sa part, le milliardaire russe Suleiman Kerimov, qui présidait la Fédération russe de lutte avant d’acheter l’an passé le club de football Anzhi Makhachkala, avait versé une prime de 500.000 dollars (381.000 euros) à chaque champion olympique russe de lutte aux JO de Pékin.
Le lutteur tchétchène Islam-Bek Albiev, champion olympique de lutte gréco-romaine, avait ainsi remporté des primes d’un montant total de 36,2 millions de roubles (916,000 euros).
Le vainqueur d’une médaille d’or recevra une prime de 4 millions de roubles (environ 100.000 euros). La prime s’élèvera à 2,5 millions de roubles (environ 63.000 euros) pour une médaille d’argent, et à 1,7 million de roubles (43.000 euros) pour une médaille de bronze, précise le site d’information en ligne gazeta.ru.
L’Etat russe avait alloué les mêmes montants aux vainqueurs de médailles aux précédents Jeux olympiques d’été à Pékin en 2008, où la Russie était arrivée troisième au tableau des médailles (23 or, 21 argent, 28 bronze).
Le montant de la prime qui sera versée aux entraîneurs des médaillés à Londres sera fixé prochainement par les ministres russes des Sports et des Finances et le comité olympique russe, selon les mêmes sources.
Les meilleurs athlètes recevront en outre une prime versée par les autorités des communes où ils résident, à laquelle s’ajoutent les primes des sponsors.
Ainsi, la ville de Saint-Pétersbourg a annoncé le versement d’une prime d’un million de roubles (25.000 euros) pour une médaille d’or.
Aux JO de Pékin, la société financière Onexim avait versé une prime de trois millions de roubles (76.000 euros) à chaque champion olympique russe évoluant au club sportif du CSKA Moscou.
Pour sa part, le milliardaire russe Suleiman Kerimov, qui présidait la Fédération russe de lutte avant d’acheter l’an passé le club de football Anzhi Makhachkala, avait versé une prime de 500.000 dollars (381.000 euros) à chaque champion olympique russe de lutte aux JO de Pékin.
Le lutteur tchétchène Islam-Bek Albiev, champion olympique de lutte gréco-romaine, avait ainsi remporté des primes d’un montant total de 36,2 millions de roubles (916,000 euros).










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