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Lors d'une récente réunion virtuelle d'experts gouvernementaux, le Maroc avait suggéré la fusion des deux plans, comme il a incité les Etats membres à préparer des plans d'action ainsi qu'un système clair pour le suivi et l'évaluation. La délégation marocaine, qui a participé à la réunion, a estimé que cette proposition est conforme au contenu du Programme mondial en faveur de l'éducation aux droits de l'Homme et vise à assurer la durabilité et la complémentarité entre les différentes initiatives auxquelles les Etats membres ont adhéré. La vision marocaine s'inspire également du Plan de développement durable à l'horizon 2030, notamment en ce qui concerne l'acquisition des connaissances et des compétences nécessaires pour contribuer aux objectifs du développement durable. Il s'agit ainsi de promouvoir des modes de vie durables ainsi que les valeurs des droits de l'Homme, d'égalité des sexes, de paix et de rejet de la violence, de citoyenneté mondiale, d'appréciation de la diversité culturelle et de contribution de la culture au développement durable.
Le Royaume du Maroc estime que la revitalisation du Plan arabe de l'éducation aux droits de l'Homme doit reposer sur un certain nombre de fondements et ce, afin de pouvoir surmonter les faiblesses et renforcer les opportunités, a ajouté la délégation, mettant l'accent sur la nécessité de mettre en place un système de gouvernance pour préparer et suivre les plans d'action au niveau des Etats membres. Lors de cette rencontre, la Commission a examiné les questions liées au renforcement du système arabe des droits de l'Homme et à la coordination des positions sur les questions liées aux droits de l’Homme soulevées aux niveaux régional et international, avec à leur tête la question palestinienne. La Commission a abordé ainsi les violations israéliennes commises dans les territoires arabes occupés, la question des détenus arabes dans les prisons d’occupation et des corps des martyrs palestiniens et arabes retenus par les autorités d’occupation.