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La Caisse interprofessionnelle marocaine des retraites (CIMR) a enregistré en 2008 un excédent d'exploitation de 2,1 milliards de dirhams (+14%), qui "renforce ses équilibres financiers et confirme la pérennité du régime", selon le rapport annuel 2008 de la CIMR.
Dans un contexte d'incertitude et de manque de visibilité liés à la crise économique, "le portefeuille de la CIMR a bien résisté, enregistrant une sur-performance par rapport au MASI de 650 points de base", a affirmé le PDG de la Caisse, Khalid Cheddadi.
"L'année 2008 nous conforte dans le rôle primordial que joue la CIMR dans la couverture des retraites des salariés du secteur privé", a poursuivi M. Cheddadi cité par le rapport.
Selon le rapport, la CIMR a réalisé un taux de progression des contributions de 11%, le plus élevé depuis 5 ans, et une augmentation sensible du nombre des nouvelles entreprises adhérentes et des nouveaux salariés affiliés.
Avec 4.116 entreprises adhérentes, dont 391 nouvelles en 2008, et 247.329 affiliés cotisants, «le bilan actuariel de 2008 confirme que le régime est pérenne et que la caisse est capable d'honorer ses engagements et de servir les pensions aux allocataires sur un horizon illimité», relève-t-on dans le rapport.
L'excédent d'exploitation réalisé en 2008 par la Caisse, s'explique par trois éléments essentiels, la croissance des produits techniques, la hausse de 4,2 % du résultat financier et la maîtrise des frais généraux dont l'évolution s'est limitée à 6%.
S'agissant des mesures adoptées en vue d'inscrire les prestations de la Caisse en adéquation avec les besoins des différentes catégories d'entreprises, a-t-on souligné, la CIMR a "élargi le choix des taux de contribution, assoupli les conditions de rachat de points de retraite supplémentaire, déplafonné le salaire soumis à contribution, de même qu'elle a fusionné les régimes normal et complémentaire". En 2009, la CIMR, qui fête son soixantenaire, a été certifiée ISO-9001 version 2000 sur ses processus de pensions de retraite.
Dans un contexte d'incertitude et de manque de visibilité liés à la crise économique, "le portefeuille de la CIMR a bien résisté, enregistrant une sur-performance par rapport au MASI de 650 points de base", a affirmé le PDG de la Caisse, Khalid Cheddadi.
"L'année 2008 nous conforte dans le rôle primordial que joue la CIMR dans la couverture des retraites des salariés du secteur privé", a poursuivi M. Cheddadi cité par le rapport.
Selon le rapport, la CIMR a réalisé un taux de progression des contributions de 11%, le plus élevé depuis 5 ans, et une augmentation sensible du nombre des nouvelles entreprises adhérentes et des nouveaux salariés affiliés.
Avec 4.116 entreprises adhérentes, dont 391 nouvelles en 2008, et 247.329 affiliés cotisants, «le bilan actuariel de 2008 confirme que le régime est pérenne et que la caisse est capable d'honorer ses engagements et de servir les pensions aux allocataires sur un horizon illimité», relève-t-on dans le rapport.
L'excédent d'exploitation réalisé en 2008 par la Caisse, s'explique par trois éléments essentiels, la croissance des produits techniques, la hausse de 4,2 % du résultat financier et la maîtrise des frais généraux dont l'évolution s'est limitée à 6%.
S'agissant des mesures adoptées en vue d'inscrire les prestations de la Caisse en adéquation avec les besoins des différentes catégories d'entreprises, a-t-on souligné, la CIMR a "élargi le choix des taux de contribution, assoupli les conditions de rachat de points de retraite supplémentaire, déplafonné le salaire soumis à contribution, de même qu'elle a fusionné les régimes normal et complémentaire". En 2009, la CIMR, qui fête son soixantenaire, a été certifiée ISO-9001 version 2000 sur ses processus de pensions de retraite.
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