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L'épidémie de grippe A H1N1 est terminée en France métropolitaine, estime un responsable du réseau Sentinelles de l'Inserm.
"C'est la fin de l'épidémie", a indiqué le Dr Thierry Blanchon, responsable adjoint du réseau, sur France Info.
Il a précisé que le nombre de personnes ayant consulté pour un syndrome grippal était passé sous le seuil épidémique depuis deux semaines.
Selon Thierry Blanchon, la France n'est toutefois pas à l'abri d'une "deuxième phase, d'un rebond du virus" qui pourrait réapparaître d'ici quelques mois, raison pour laquelle il ne faut pas arrêter de se vacciner. "Il faut rester vigilant", a-t-il dit, soulignant toutefois qu'il n'y avait pas eu de rebond dans l'hémisphère sud.
La ministre française de la Santé Roselyne Bachelot fait face à de vives critiques de l'opposition de gauche lui reprochant sa gestion de la pandémie de grippe A(H1N1).
Des députés ont estimé que le gouvernement avait exagéré la menace du virus, écarté les médecins généralistes de la campagne de vaccination et acheté un nombre exagéré de vaccins, une commande de 94 millions de doses.
Auditionnée mardi soir à l'Assemblée nationale, Roselyne Bachelot a laissé entendre que l'Etat devrait bel et bien indemniser l'industrie pharmaceutique à la suite de la résiliation des commandes de 50 millions de doses de vaccins.
Elle a néanmoins rejeté les critiques en mettant en avant le principe de précaution, répétant qu'il valait mieux en faire trop que pas assez. Elle a aussi affirmé que les généralistes n'avaient pas été écartés mais "protégés."
"C'est la fin de l'épidémie", a indiqué le Dr Thierry Blanchon, responsable adjoint du réseau, sur France Info.
Il a précisé que le nombre de personnes ayant consulté pour un syndrome grippal était passé sous le seuil épidémique depuis deux semaines.
Selon Thierry Blanchon, la France n'est toutefois pas à l'abri d'une "deuxième phase, d'un rebond du virus" qui pourrait réapparaître d'ici quelques mois, raison pour laquelle il ne faut pas arrêter de se vacciner. "Il faut rester vigilant", a-t-il dit, soulignant toutefois qu'il n'y avait pas eu de rebond dans l'hémisphère sud.
La ministre française de la Santé Roselyne Bachelot fait face à de vives critiques de l'opposition de gauche lui reprochant sa gestion de la pandémie de grippe A(H1N1).
Des députés ont estimé que le gouvernement avait exagéré la menace du virus, écarté les médecins généralistes de la campagne de vaccination et acheté un nombre exagéré de vaccins, une commande de 94 millions de doses.
Auditionnée mardi soir à l'Assemblée nationale, Roselyne Bachelot a laissé entendre que l'Etat devrait bel et bien indemniser l'industrie pharmaceutique à la suite de la résiliation des commandes de 50 millions de doses de vaccins.
Elle a néanmoins rejeté les critiques en mettant en avant le principe de précaution, répétant qu'il valait mieux en faire trop que pas assez. Elle a aussi affirmé que les généralistes n'avaient pas été écartés mais "protégés."