L’IBC élit Hassan Megri homme de l’année 2011

Mercredi 30 Novembre 2011

L’IBC élit Hassan Megri homme de l’année 2011
Les vents de l’Oriental avaient au début des années 60 annoncé la naissance d’une dynamique musicale rare. Les Megri étaient déjà créateurs et Hassan, le plus grand d’entre ses frères, entame à un jeune âge la composition et la peinture. Depuis, le parcours a été sinueux, mais fructueux aussi. En 2011, l’artiste qui est à la fois auteur, compositeur, interprète, artiste peintre et chercheur assidu dans la calligraphie iconographique persane, a été élu «Man of the year» (Homme de l’Année 2011) par le IBC (International Biographical Centre) de Cambridge (Angleterre).
Ce n’est pourtant pas la première fois que Hassan se voit attribuer une pareille distinction. En effet, cette consécration est d’autant plus rehaussée par sa nomination, pour la même année, en tant que vice-président du  «World congress  of arts-sciences and communications-2011» sous les auspices  de «IBC England», représentant ainsi le continent africain  dans ce Forum à l’échelle mondiale. Cet artiste légendaire tout à fait exceptionnel est devenu une sorte d’icône du monde de l’art et de la culture.
La relation de Hassan Megri avec les prix remonte à 1954, lorsqu’il a remporté le 1er Prix d’arts plastiques à l’échelle de toute l’Afrique. Depuis, il a effectué beaucoup de voyages à travers les pays arabes et asiatiques, pour la promotion de la musique Megri, mais aussi pour s’imprégner d’autres rythmes et tendances musicales. Cette culture assez éclectique a fait de lui créateur de la World  music  arab  et le rénovateur de la  calligraphie iconographique persane. Il est aussi président  fondateur  du Comité national de la musique  (membre du Conseil international de la musique /Maison de l’UNESCO de Paris) et l’initiateur  et  président du Festival  artistico-culturel «Eté des Oudayas». Il faut dire qu’il est resté longtemps hors des projecteurs de la presse nationale, mais ses créations, initiatives et activités en dehors du pays lui ont valu une reconnaissance internationale.
Son palmarès est aussi riche que varié, dans la mesure où il a déjà été distingué de la Médaille d’Or de l’Académie des «arts-sciences-lettres» de Paris (2007), «The Gold Medal of Freedom» (USA-2009), «The Gold Medal-Morocco» (ABI-USA-2010», «l’International Peace  Prize» (United Cultural Convention-USA-2011). Comme il a été honoré et décoré par «The noble Order of International Ambassadors -2011» par the American Biographical Institute-USA.

Mustapha Elouizi

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