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A ce titre, le Trésor semble bien parti pour boucler son besoin prévisionnel qui n’est toujours pas annoncé. Malgré cette levée jugée importante, les taux n’ont pas marqué de hausse sensible, notamment la maturité 26 semaines qui a pris 2 points de base pour un montant retenu de 2.8 MMDH.
En revanche, la maturité 1 an a été adjugée à la baisse d’un point de base à 2.56 MMDH. Cette situation reflète l’engouement des investisseurs pour les maturités courtes dans un contexte marqué par des incertitudes quant au déficit budgétaire, l’évolution de la liquidité du système bancaire ainsi que la manière de gérer le budget.
Désormais, les intervenants jugent que les taux à court et moyen termes sont plutôt rémunérateurs côté ratio risque/rendement, rappelant ainsi que le 52 semaines traite de nos jours au même niveau du 10 ans enregistré en 2011.
Par ailleurs, la Banque centrale vient d’annoncer jeudi l’injection d’un montant de 51MMDH au titre des avances à 7 jours sur le marché monétaire. Cette intervention a eu lieu au cours de l’appel d’offres du jeudi au taux de 3% pour un montant demandé de 65,75 MMDH, a indiqué BAM dans un communiqué.










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