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Les industries modernes sont entrées en concurrence pour obtenir des mines stratégiques utilisées dans les industries de développement technologique et industriel et dans le domaine des énergies renouvelables, constituant désormais une source de conflits mondiaux et économiques, a poursuivi le DG de l’AIDSMO, relevant la spéculation sur les marchés qui conduit naturellement à l’augmentation de la demande de ces mines et l’anticipation de prix plus élevés. L’AIDSMO vise, à travers cette étude ciblant les décideurs, les spécialistes et les travailleurs du secteur minier dans les pays arabes, à promouvoir les opportunités d’investissement minier en matière de mines stratégiques dans la région, a expliqué M. Saker.
Les mines stratégiques se trouvent dans des environnements géologiques et des régions minières spécifiques, dont la majorité sont disponibles dans les pays arabes, selon le communiqué. D’après les données disponibles, ces mines se trouvent dans quatorze pays arabes, à savoir le Maroc, la Jordanie, les Emirats arabes unis, la Tunisie, l’Algérie, le Djibouti, le Soudan, la Somalie, l’Irak, le Sultanat d’Oman, la Libye, l’Egypte, la Mauritanie et le Yémen. Cette étude a porté sur les mines stratégiques, notamment celles utilisées dans le domaine des énergies renouvelables, à savoir le lithium, le cobalt, l’indium et le tellurium. Ces mines sont employées dans la fabrication d’aimants, d’appareils de communication, de lasers, de batteries et de voitures électriques afin de réduire la pollution, ainsi que dans la fabrication d’autres produits stratégiques.