D’un coût de 220 millions de DH, ce programme lancé l’année dernière se compose de 21 projets. Une année plus tard, on en est encore au stade des maquettes et des vœux pieux.
Les lenteurs administratives empêchent, en effet, qu’il y ait établissement d’un échéancier clair des travaux ou de dates pour mener à terme ces projets. Pis, les multiples réunions tenues ou programmées pour évaluer l’état d’avancement des projets ressemblent plus à des catharsis qu’à de véritables réunions de chantiers.
La dernière d’entre elles en a fourni la plus patente des preuves. La faute du retard incomberait à une certaine presse qui aurait «fouiné » plus qu’il n’en fallait et qui, plus est, n’aurait pas suffisamment applaudi aux prouesses des responsables provinciaux pour stimuler leur élan. Et puis quoi encore ?